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·19 Januari 2025
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Ce samedi soir, le Paris Saint-Germain s’est imposé 1-2 (résumé vidéo Lens/PSG) contre Lens lors de la 18e journée de Ligue 1 2024-2025 au Stade Bollaert. On vous présente les tops et les flops de ce match nul.
Ce n’est pas passé loin. Lens a fait un bon match, Paris s’est fait peur. Cette équipe parisienne n’est pas la plus séduisante techniquement parlant. Elle a des failles visibles. Les adversaires y croient.
Pourtant, finalement, personne n’arrive à faire tomber ce PSG. Il y a une volonté farouche de ne pas perdre et c’est peut-être la bonne nouvelle de ce weekend. Cela dit, ce n’est pas très rassurant, tant cette équipe parait jouer au-dessus de ses moyens quand un ou deux joueurs ne sont pas là.
Barcola reprend de la confiance, cela s’est vu quand il a marqué et exulté. Beraldo rejoue et n’a pas été mauvais, Lucas Hernandez continue d’enchainer. Ruiz relance Paris après un match limite catastrophique par moment.
Il a su se remettre dans le match. Encore un match aux deux visages et heureusement que le bon côté l’emporte toujours pour le moment.
Impossible pour certains joueurs de donner des ballons vers l’avant ? On a compris que Lens voulait contrer et faire mal, mais à un moment, la passe à 10 entre Beraldo, Hernandez et Pacho, il faut que ça s’arrête.
Les joueurs ont joué sans caractère pendant plus d’une heure, personne ne prend le jeu à son compte et surtout comment inverser cette tendance. On a compris qu’ils ne veulent pas perdre le ballon, mais jouer au football, déséquilibrer l’adversaire, cela passe aussi par un jeu plus direct et risqué.
Ramos ou pas, il faut comprendre que la première mi-temps offensive du PSG est nulle. Il n’y a rien eu. Quand un joueur de côté a le ballon, il n’y a personne dans la surface. Quand il faut trouver un point d’appui, il n’y a personne, ce qui fait que Barcola et Doué ont buté contre les défenseurs. Les frappes de loin peuvent compenser, mais il n’y en a jamais plus de 3 ou 4.
On comprend que Lee est un chouchou de Luis Enrique, mais sa prestation sans saveur montre aussi que l’entraîneur parisien préfère garder le ballon que de le bonifier, quitte à prendre des risques. Pourtant, il le répète, le plus important, c’est de marquer des buts. On ne pourra pas toujours se cacher derrière le résultat.