Foot National
·26 November 2025
Lille : le deuxième penalty accordé face au Paris FC n’aurait pas dû être sifflé

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·26 November 2025

La Direction de l'arbitrage de la FFF, qui analyse les situations et décisions prises lors des matchs de Ligue 1 du week-end, estime que le deuxième penalty de Lille contre le Paris FC n'aurait pas dû être accordé. Les autres décisions, concernant le but contre son camp d'Awaziem et le penalty de Brest, étaient jugées correctes.
Ce point hebdomadaire commence à s'installer après chaque journée de Ligue 1. Ce mercredi 26 novembre, la Direction de l'arbitrage de la FFF a rendu son analyse sur les décisions du week-end en L1. Lors de cette analyse, seul le deuxième penalty accordé aux Lillois face au Paris FC est considéré comme une erreur d'arbitrage dans l'élite. Sur un tir de Broholm, le ballon a semblé être dévié par le bras du défenseur du PFC, Kolodziejczak. Malgré un visionnage VAR au bord du terrain, la décision d'accorder un penalty a été maintenue. La Direction de l'arbitrage estime en effet que : "Le contact entre le ballon et le défenseur dans la surface de réparation s'effectue sur le flanc et le coude du bras gauche replié, très proche du corps, sans contact additionnel avec l'autre bras. Cette position ne correspond pas à une augmentation artificielle de la surface couverte par le corps du défenseur. Par conséquent, la décision de penalty n'était pas attendue et un visionnage en bord de terrain aurait dû être proposé pour corriger la décision."
L'autre action litigieuse du week-end, le but accordé sur le but contre son camp du Nantais Awaziem, alors que l'attaquant de Lorient était hors-jeu dans son dos, a été justifiée ainsi : la Direction de l'arbitrage explique que, malgré la position de hors-jeu du joueur lorientais n°28, celui-ci "ne prend pas une part active au jeu et ne commet aucune interférence avec les adversaires" :
Enfin, la dernière action analysée dans l'élite concernait le penalty de Brest face à Metz. La Direction de l'arbitrage a confirmé : "Le défenseur, dans sa propre surface de réparation, bouscule l'attaquant avec une poussée manifeste des deux bras dans le dos de ce dernier. Ce geste, provoquant la chute de l'attaquant, est clairement sanctionnable au sens de la loi 12 : le penalty était bien la décision technique attendue."
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