Nantes/PSG – Kombouaré fier de l’attitude et impressionné par Paris | OneFootball

Le FC Nantes et le Paris Saint-Germain s’affrontaient ce mardi soir à la Beaujoire, pour le match en retard de la 29e journée de Ligue 1. Et si le club de la capitale s’est offert un record historique, ils ont malheureusement concédé un second match nul face aux Canaris (1-1, voir le résumé vidéo). Antoine Kombouaré, entraîneur du club breton, s’est exprimé sur cette belle performance aux micros de DAZN.

Kombouaré: « J’ai aimé l’attitude, on y a cru jusqu’au bout »

On vous dit félicitations ?

Oui, oui, je suis super content parce qu’on a fait un bon match, un grand match. Des fois on peut gagner ou faire un match nul avec de la réussite, là je pense qu’on a été chercher ce match nul avec du jeu et on y a cru jusqu’au bout. À la mi-temps on était un peu déçu parce qu’on prend ce but évitable. J’ai aimé l’attitude. Il fallait essayer de casser ce pressing défensif et être courageux.

Heureusement qu’ils ont joué vite la touche parce que votre joueur devait sortir avant de marquer ?

Oui, c’est ça aussi le foot. Je le voyais en train de mettre les mains sur les hanches. Beaucoup de fierté parce qu’on se sentait mal embarqué, quand vous êtes mené contre le PSG ils peuvent vous punir. Énorme satisfaction parce que c’est un point important pour la course au maintient et faire une prestation de ce calibre contre ce PSG, on l’avait dit c’était le match de l’année pour nous. Il fallait aussi espérer que le PSG ait un peu la tête à mardi prochain.

« Leurs statistiques à l’extérieur, ça faisait peur. Ils ne sont jamais rassasiés »

Invaincu contre des Invincibles ?

Oui, on a pris 2 points contre eux.

Elles sont bonnes les statistiques ?

Elles sont très bonnes. On a bien tiré au but, ils ont pas autant d’expected goals que j’imaginais, on a eu autant de corners qu’eux. Ce sont des statistiques importantes. J’ai vu leurs statistiques à l’extérieur, ça faisait peur. Ils ne sont jamais rassasiés, Luis Enrique il est à fond, il ne les lâche pas. Quand j’ai vu les changements ça m’a fait sourire.

Un moment vous êtes passé à 4 derrière ? Un moment si on veut revenir au score on avait pas de choix. On voulait jouer haut. Quand on a marqué on est repassé à 5 derrière pour verrouiller de partout.