Notes : Atletico - Real Madrid | OneFootball

Le Real affrontait aujourd'hui l'Atletico lors de la 7e journée de Liga. Voici les notes attribuées par notre rédaction aux Merengues.

Courtois : 5 – Peut-être qu'il peut et doit sortir sur le premier but, le ballon étant dans ses 6 mètres. Il a ensuite retardé un peu l'échéance avant l'égalisation de Sorloth juste avant la pause. Il est ensuite battu sur penalty et sur un magnifique coup-franc de Julian Alvarez.

Carvajal : 4 – Match raté, complètement raté. L'Espagnol a été méconnaissable comparativement à ce qu'il démontre depuis le début de saison. Tremblant, imprécis et beaucoup de déchet.

Huijsen : 0 – Chill, sans doute trop... L'Espagnol n'a pas été à la hauteur de l'évènement, pire, il a été catastrophique dans tous les registres : à la relance, dans les airs, dans le duel au sol...

Militao : 6 – Une intervention décisive dès les premières minutes de jeu et une première période plus que correcte au coeur d'un Real à la rue. Il est sorti blessé...

Carreras : 0 – Un match très neutre de sa part. Il n'a pas pris l'eau dans son couloir mais il n'a pas non plus apporté en attaque. Remplacé à la 70e.

Tchouaméni : 3 – Le milieu madrilène a été dominé et le Français s'est fait écraser dans son duel avec son compatriote, Le Normand, sur le premier but.

Valverde : 3 – Pas au niveau techniquement du rendez-vous, il n'a aucunement pesé dans la partie.

Bellingham : 3 – La surprise de Xabi Alonso mais de toute évidence, le Britannique n'était pas prêt pour ce rendez-vous. Dépassé.

⭐️ Arda Güler : 6 – Le meilleur madrilène dans l'entre-jeu, la seule réelle lumière. Une passe décisive et un but pour le Turc.

Vinicius : 3 – Énième match compliqué pour Vini au Métropolitano même s'il fait la différence sur le deuxième but du Real Madrid.

Mbappé : 5 – L'homme qui remet le Real Madrid dans le droit chemin en première période avec pas grand chose, mais l'obstacle était trop haut cette fois-ci.

Xabi Alonso : 2 - Huitième composition d'équipe différente en autant de matchs, mais cette fois-ci, l'entraîneur madrilène a pris le mur. Le choix de Bellingham n'a pas été payant et il n'a jamais trouvé les solutions. Son équipe n'a jamais contrôlé le match, pas même à 1-2.