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·30 Desember 2025

Suarez balance : Neymar déjà parti, le “se queda” n’était qu’un mirage

Gambar artikel:Suarez balance : Neymar déjà parti, le “se queda” n’était qu’un mirage

Ancien milieu du FC Barcelone, Denis Suárez (31 ans), aujourd’hui joueur du Deportivo Alavés, est revenu sur le départ de Neymar (33 ans) dans L’After de Post United sur YouTube. Un témoignage qui fissure définitivement le mythe du célèbre « se queda ».

Suarez « Son départ nous a pris par surprise »

« Son départ nous a pris par surprise, mais il y a tout de même eu un moment où nous savions qu’il allait partir. Même avec la photo du se queda, nous savions déjà qu’il n’allait pas rester. On a commencé à dire à Piqué qu’il n’avait pas les couilles de publier la photo… et il l’a publiée. Mais en réalité, Neymar était pratiquement parti à ce moment-là.

Suarez « Il aurait pu faire quelque chose de très grand »

Il y avait des coéquipiers proches de lui qui ont tenté de le convaincre que c’était mieux pour lui de rester. Et je considère aussi que cela aurait été mieux pour lui de rester car il aurait pu faire quelque chose de très grand. Il serait rapidement devenu le numéro 1 au Barça en gagnant tout ce qu’il voulait gagner. »

Le témoignage de Denis Suárez permet surtout de rééquilibrer un récit souvent caricatural. Oui, rester au Barça aurait offert à Neymar une trajectoire royale. Mais partir au Paris Saint-Germain relevait d’un défi autrement plus complexe que la simple quête d’ego. À Paris, Neymar ne changeait pas seulement de club : il changeait d’échelle. Il devenait le visage d’un projet, le moteur sportif d’une ambition européenne encore inachevée.


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Contrairement à Barcelone, où Lionel Messi restait l’axe immuable autour duquel tout gravitait, le PSG lui offrait une responsabilité totale, presque écrasante. Construire, porter, assumer. Loin d’un caprice personnel, ce choix s’inscrivait dans une volonté de tester sa capacité à mener un club vers un sommet qu’il n’avait jamais atteint. Avec le recul, on peut discuter du résultat, mais réduire ce départ à une affaire d’orgueil serait passer à côté de la réalité : Neymar a choisi le risque maximal, pas la facilité.

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