Textor surprend tout le monde avec sa dernière sortie sur Al-Khelaïfi

In partnership with

Parisfans.fr

·16 Desember 2025

Textor surprend tout le monde avec sa dernière sortie sur Al-Khelaïfi

Ancien président de l’Olympique Lyonnais (2023-2025), John Textor est revenu, pour RMC Sport, sur sa relation avec Nasser Al-Khelaïfi, président du Paris Saint-Germain. L’Américain a tenu à balayer l’idée d’une rivalité frontale entre les deux hommes, évoquant au contraire une collaboration utile dans l’ombre, notamment sur certains dossiers sensibles liés à l’UEFA.

Textor « Je pense qu’il m’a beaucoup aidé.

« Ecoutez, on nous a vus ensemble. On a passé du temps ensemble. Il a un superbe sens de l’humour. On est devenus un peu plus sérieux. Quand il m’appelé ‘cow-boy’, tout le monde s’est moqué de ça. Mais en fin de compte… Je pense qu’il m’a beaucoup aidé. On a eu des soucis avec l’UEFA, il nous a aidés à les régler et beaucoup ne le savent pas. Je dirais que nous avons de bonnes relations amicales. Je sais que c’est plus fun pour les gens d’imaginer une sorte de rivalité. En définitive, il a été plus aidant pour gérer certains problèmes en France qu’il n’a été nuisible. »

Le football adore les récits simples : les gentils, les méchants, les camps bien définis. John Textor explique justement pourquoi cette grille de lecture est souvent trompeuse. Derrière l’image d’une opposition PSG–OL presque politique, il décrit une relation bien plus pragmatique avec Nasser Al-Khelaïfi. Moins de coups bas que de coups de fil, moins de rivalité que de gestion commune de problèmes complexes, notamment dans un contexte français et européen parfois hostile aux clubs.

Video OneFootball

Textor insiste sur un point rarement mis en avant : l’aide apportée par le président du Paris Saint-Germain dans certains dossiers UEFA, loin des projecteurs. Une réalité peu “bankable” médiatiquement, mais révélatrice du fonctionnement réel du football moderne. Les tensions existent, bien sûr, mais elles cohabitent avec des alliances ponctuelles dictées par les intérêts communs. Ce n’est pas du romantisme, c’est de la gouvernance. Et souvent, ce sont ces détails invisibles qui font basculer des situations entières.