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·23 November 2024
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Un dirigeant de l’Olympique de Marseille aurait joué un grand rôle pour calmer Roberto De Zerbi pendant la trêve internationale.
Roberto De Zerbi veut aller de l’avant. Très marqué par la défaite contre Auxerre (1-3) avant la trêve internationale, le technicien italien espère un sursaut de ses joueurs cet après-midi (17h) sur la pelouse du Racing Club de Lens. Lorsqu’il a retrouvé ses joueurs cette semaine à l’entraînement, l’Italien n’a pas voulu revenir intensément sur cette rencontre et s’est contenté d’observer ses troupes à l’entraînement en limitant au maximum les prises de parole à en croire les informations de L’Equipe.
Le quotidien sportif nous apprend d’ailleurs qu’il en a profité pour échanger avec ses dirigeants et notamment son fidèle soutien Giovanni Rossi, arrivé cet été pour l’épauler. Ce dernier aurait même joué un rôle d’apaisement après cette sortie plus que frustrante face à l’AJA. Le discours de « RDZ » face à ses joueurs a surtout été marqué par trois principes : « adaptation », « personnalité » et « patience », le coach étant toujours convaincu de la qualité de son groupe à assimiler ses principes de jeu.
Cela va ainsi dans le sens de ses propos hier en conférence de presse où il affirmait ne pas vouloir abandonner le navire : « On a dû travailler avec sept ou huit joueurs en moins. On a travaillé sur le physique, moins sur la tactique. On a une équipe forte, on sait ce qu'on doit faire pour progresser. Moi, mais les joueurs et le club de manière général, n'acceptons pas le match contre Auxerre. Sur le terrain, ce n'était pas suffisant. Je n'ai pas employé de mots forts. J'ai juste assumé mes responsabilités. On a joué cinq matchs au Vélodrome, une victoire, deux nuls et deux défaites. J'assume mes propres responsabilités. Si vous croyez que je vais démissionner, que c'est mon idée, je tiens vraiment à souligner que je ne fuis pas. Je reste ici, je n'ai pas fui du Shakhtar même quand Poutine à lancé des bombardements à Kiev. Je crois à cet OM, aux joueurs que j'entraîne. Je ne vais nulle part ailleurs ». Une chose est sûre, il faudra éviter un faux pas cet après-midi à Bollaert sous peine d’entrer dans une véritable crise.
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