Valentin Vada : « En France, quand tu t’entraines, tu sens que tu bosses, et ça m’a fait du bien, il fallait que je courre » | OneFootball

« Ça fait longtemps que je suis parti, en 2019. J’ai fait six mois à Saint-Etienne, et il me restait un an de contrat encore. Je voulais continuer… J’avais quelques offres en Ligue 1, et Almeria m’a appelé, en deuxième division. Au début, je ne voulais pas y aller, mais on m’a présenté un bon projet, puisqu’ils sont montés. J’ai toujours voulu jouer en Espagne, en première division, c’était un objectif. Ça n’a pas pu se faire… mais les années que j’ai passées à Almeria, Saragosse et Tenerife, franchement, c’étaient de bonnes années. En Espagne, c’est très compétitif. Le dernier peut gagner le premier… Tu as des équipes qui jouent vraiment bien au ballon, et c’est très compliqué d’enchainer les victoires ».

« Cela change beaucoup au niveau tactique, et au niveau physique. En France, on bosse beaucoup sur le niveau physique, et en Espagne on a beaucoup travaillé le physique mais avec le ballon. Après, le foot est différent aussi. En France, il y avait peut-être plus d’intensité. La Ligue 1 est supérieure à la Ligue 2 espagnole. En France, quand tu t’entraines, tu sens que tu bosses, et ça m’a fait du bien, il fallait que je courre. En Russie, il y a beaucoup d’intensité et de transitions ».

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