Tribune Nantaise
·10 Desember 2025
« Vous touchez l’homme et c’est un manque de respect » : Castro sur les rumeurs des journalistes

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·10 Desember 2025

Lors de sa conférence de presse d’avant match, Luis Castro n’a pas mâché ses mots. Il n’hésite pas à remettre en place les journalistes sur les rumeurs à son sujet sur les tensions au FC Nantes. Des rumeurs qui l’ont personnellement touché…
En conférence de presse ce mercredi, le technicien portugais a poussé un « gros coup de gueule ». Il a dénoncé des attaques de journalistes en relayant des rumeurs sur son comportement au sein du FC Nantes. Des attaques dépassant le simple cadre sportif.
» Je suis un humain comme les autres. Quand je vois tout ce que l’on écrit sur moi, je ne suis pas content. Je pense que vous (les journalistes) devriez m’appeler pour me poser des questions. »
Le coach Castro dira qu’il n’y a aucun problème à parler de sa tactique, ce sont les rôles des journalistes. Mais il reproche que ces rumeurs vont bien plus loin.
« Quand vous parlez de mes principes en tant qu’homme et de l’éducation que m’a donné mon père, je ne suis pas content. Au minimum, vous devez vérifier, m’appeler pour voir si les choses sont vraies ou non. » « Je ne sais pas si vous écrivez pour écrire, Si vous croyez tout le monde tout le temps, ou si ce sont des remords. Mais vous touchez l’homme et ça je pense que c’est un manque de respect. »
À la suite de ces déclarations choc, un journaliste à directement rebondit sur les éléments qui ont touchés personnellement Luis Castro.
« Par exemple, qu’il y a des tensions à l’interieur du club entre moi et d’autres personnes, vous pouvez faire venir qui vous voulez, je respecte le mec de la pelouse et le président de la même manière. Quand vous écrivez des articles sur ce qu’il se passe à l’interieur, je n’aime pas mais c’est votre travail. » « Par contre, quand vous dites qu’il y a de la tension et que je mets des personnes de côté, ce sont mes principes qui sont touchés. Si vous trouvez une personne que je mets sur le côté, ramenez-la moi. Et même si je ne parle pas avec quelqu’un, vous dites que je ne parle pas avec la direction. Ce n’est pas vrai non plus. » « Vous écrivez, mais vous ne me demandez pas. Je ne sais pas pourquoi vous écrivé ça. Je parle en face à face avec tout le monde. Si vous arrivez à me trouver une personne du club à qui je ne parle pas, ou ne répond pas, je paye pour vous et pour tout le monde dans la salle, un repas au restaurant. Même si il est à Paris je paye le trajet à tout le monde. »
Il terminera son discours avec une phrase forte qui laissera la salle dans un blanc total pendant une dizaine de secondes.
« Là, vous touchez l’homme mais aussi l’éducation que mon père m’a donné. Et ça, ça me fait vraiment mal ».









































