Analyse de la la situation financière des Girondins de Bordeaux de 2016 à 2024 (vidéo) | OneFootball

Voici une vidéo récapitulative et surtout chiffrée, réalisée par Florent Toniutti, sur les comptes des Girondins de Bordeaux depuis 2016-2017, soit les dernières années M6, jusqu’à la dernière année professionnelle du Club en Ligue 2 (2023-2024). Avec des chiffres, et une explication aussi claire, difficile de nier certaines réalités.

Cela passe par les dernières années d’M6, le folklore de GACP-King Street, et les années Gérard Lopez. Evidemment, tous sont responsables de la situation actuelle du Club au Scapulaire, mais certaines saisons dénotent, entre mauvais choix et mauvaise gestion.

« Comment Gérard Lopez a envoyé les Girondins dans le mur ? »

Comme relaté dans la vidéo, Gérard Lopez a hérité d’une situation économique plutôt catastrophique et déjà hors du temps. Mais malheureusement, celle-ci ne s’est pas améliorée sous sa direction. Evidemment, l’on pense, comme pour certains secteurs et celui des commissions d’agent, au rôle de certaines personnes mises en place, mais in fine la fin de la chaine de direction pointe l’actuel propriétaire du Club. S’il a fait son mea culpa et a envie de faire remonter le FCGB, l’on constate qu’il était surtout intenable financièrement de pouvoir continuer pour lui et les Girondins à l’issue de la saison en Ligue 2, d’où la décision de placer le club en redressement judiciaire.

Si nous n’aurons probablement pas les chiffres de la saison actuelle en National 2, l’on espère que cette gestion est enfin devenue raisonnable et raisonnée. Car mettre de l’argent, oui, c’est bien, mais le jeter par les fenêtres, peu importe la somme et même pour les gens lambda que nous sommes, cela relève de la folie et surtout ça ne rime à rien. Espérons que des leçons seront retenues pour l’avenir de notre club, avec les personnes en place actuellement.

Voici donc ci-dessous une vidéo intéressante de la descente sportive et la gabegie financière des Girondins de Bordeaux, qui ne font désormais plus partie du paysage professionnel.