Bruno Irles : “Aujourd’hui, pour toutes les équipes, c’est le Ballon d’Or, donc il fait peur” | OneFootball

« Dans le groupe, ça ne change pas tout, non. Peut-être pour l’adversaire parce qu’il peut faire plus peur à l’adversaire, qui peut craindre qu’il rentre à un moment ou un autre. Qu’il soit sur le terrain, oui, ça change. Aujourd’hui, pour toutes les équipes, c’est le Ballon d’Or, donc il fait peur. Si je joue contre le Paris Saint-Germain, ça me dérange moins que Ruiz soit là, par rapport à Dembélé. Il faut penser à la place des adversaires aussi. A Strasbourg, c’est quatre remplaçants qui sont sur le terrain derrière, d’accord, mais mettez-vous à la place de l’adversaire, il y a le meilleur joueur du monde, celui qui a été désigné comme ça, qui est en face… Et ça fait peur. Cela peut permettre de libérer les autres, plus qu’un Ruiz ou un Neves. Quand on joue Paris, on joue le Champion d’Europe, et les adversaires n’abordent pas les matches de la même manière que quand ils jouent Paris aujourd’hui, que quand ils jouaient Paris il y a trois ou quatre ans. Et Ousmane Dembélé, ça va être la même chose. C’est le Champion d’Europe en face. Les équipes tremblent, et pour Dembélé ça va être la même chose ».

« Il n’y a pas de débat… Il n’y a pas de question. Il a commis des erreurs, comme Donnarumma en avait fait. Il arrive au Paris Saint-Germain parce qu’il a un bien meilleur jeu au pied, il va ainsi augmenter la qualité de relance du Paris Saint-Germain. On sait pourquoi Luis Enrique l’a pris, c’est très clair. C’est un joueur international, il n’est pas titulaire encore. Il fait des erreurs, mais comme pas mal de gardiens, non ?! ».

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