Chema Andrés, un rêve devenu réalité au Santiago Bernabéu | OneFootball

Une après-midi inoubliable pour Chema ! La victoire éclatante du Real Madrid face à Las Palmas (4-1) ce week-end a été marquée par un moment particulier.

À la 83e minute, Chema Andrés est entré en jeu, remplaçant Dani Ceballos pour ses premiers pas en Liga. À seulement 19 ans, le milieu de terrain formé à la Castilla a eu l’opportunité de jouer au Santiago Bernabéu, un instant qui restera gravé à jamais dans sa mémoire.

Dans une interview accordée à RMTV après la rencontre, Chema Andrés n’a pas caché sa joie : « Je suis l’une des personnes les plus heureuses au monde en ce moment. Faire mes débuts en Liga avec le Real Madrid, et le faire au Santiago Bernabéu, c’est un rêve devenu réalité.

Jouer aux côtés des meilleurs joueurs du monde, c’est incroyable. Les voir depuis le banc lors de la première mi-temps était déjà un moment formidable, et avoir eu la chance de faire partie de l’action, c’était irréel ».

Chema Andrés : une fierté partagée en famille

En plus d’être une récompense pour lui-même, ses débuts en Liga sont également l’occasion pour Chema Andrés de s’imprégner des conseils des vétérans de l’équipe. « Le meilleur conseil que j’ai reçu vient de personnes avec une expérience immense, comme Lucas Vázquez, Fede Valverde, ou même Jude Bellingham », a-t-il ajouté.

Bien que ce dernier soit encore relativement nouveau au club, son impact sur le jeune milieu est déjà palpable. « Ce qui me reste vraiment, c’est cette constante réaffirmation de confiance en soi, de rester fidèle à soi-même, de ne pas avoir peur et de profiter de chaque moment sur le terrain ».

Au-delà de sa propre fierté, Chema Andrés a également partagé l’émotion de sa famille, notamment de son grand-père, qui a été « ravi » de voir son petit-fils vivre ce moment unique : « C’est un honneur de lui offrir un autre maillot. J’espère que ce sera la deuxième de beaucoup d’autres à venir », a-t-il déclaré avec un sourire. Un clin d’œil à l’avenir, rempli d’espoir et de promesses.

Thibaud Brierre