Coupe du monde 2026 : le pire et le meilleur tirage pour l’Espagne | OneFootball

L'Espagne, l'un des grands favoris de la Coupe du monde 2026, voit le tirage au sort approcher. Quel serait son pire et son meilleur menu ?

À l’approche du tirage au sort de la Coupe du monde 2026, l’Espagne aborde l’événement avec sérénité mais aussi prudence. Placée dans le prestigieux chapeau 1, et emmenée par ses prodiges Yamal ou Pedri, la Roja évitera les géants du football mondial, mais le nouveau format à 48 équipes peut toujours réserver des surprises. Et certains scénarios pourraient rapidement transformer la campagne nord-américaine en défi monumental.

Parmi les combinaisons possibles, la plus complexe pour l’Espagne commencerait par le Maroc. Les Lions de l’Atlas, demi-finalistes en 2022 et solides dans toutes les lignes, sont devenus l’une des sélections les plus difficiles à manœuvrer.

S’ajouterait ensuite la Norvège, portée par Erling Haaland et Martin Odegaard. Une équipe jeune, directe, physique, et capable de marquer à tout moment : exactement le genre de profil qui peut poser des problèmes à une Espagne tournée vers la possession.

Enfin, la Bolivie — si elle franchit les barrages — pourrait compléter un groupe piégeux. Même si elle n’est pas une puissance mondiale, son identité sud-américaine et son style combatif rendent chaque duel imprévisible, surtout dans un tournoi où la moindre erreur peut coûter la qualification.

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Le meilleur tirage potentiel serait nettement plus favorable. Affronter l’Australie offrirait à l’Espagne une opposition sérieuse mais raisonnable, face à une équipe disciplinée mais manquant souvent d’armes offensives face aux top nations.

L’Afrique du Sud représenterait un second adversaire accessible, talentueux mais irrégulier à ce niveau. Et pour clore ce groupe idéal, Haïti. Courageuse et enthousiaste, la sélection caribéenne, qui fait partie des grandes surprises de la compétition, reste toutefois l’une des moins expérimentées du chapeau 4.

Entre un groupe de fer et un parcours largement dégagé, la Roja attend désormais son sort. Ce tirage dessinera les contours de sa mission américaine : conquérir, enfin, un nouveau titre mondial.

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