Jean-Louis Gasset sur son groupe: « Je fais du yo-yo. Je vis avec un yo-yo. » | OneFootball

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·21 gennaio 2025

Jean-Louis Gasset sur son groupe: « Je fais du yo-yo. Je vis avec un yo-yo. »

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Jean-Louis Gasset, à l’issue de la rencontre face à l’AS Monaco, s’exprimait auprès du Midi Libre sur l’obligation, une fois encore, de faire confiance à des jeunes alors que le MHSC lutte dans la quête d’un maintien inespéré. On pense notamment à Yaël Mouanga, titularisé dès le coup d’envoi dans l’axe de la défense:

« Quand j’ai vu les changements à Lyon où l’entraîneur en face, il rentre Tolisso, il rentre Cherki… Et là, contre Monaco, pareil, on voit rentrer Embolo, on voit rentrer Golovin… On se dit qu’on ne fait pas le même sport. Nous, on rentre des jeunes du centre de formation qui ont des qualités, mais qui doivent rentrer dans des moments opportuns. Ce n’est pas le jeune qui va faire la différence, ce sont les cadres qui doivent montrer l’exemple. Ceux qui sont au-dessus doivent montrer l’exemple. Benjamin Lecomte aujourd’hui, Téji Savanier ont montré qu’ils allaient au bout d’eux-mêmes.


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Quand c’est comme ça, les jeunes autour peuvent jouer en confiance et on peut les interchanger. Il y en a quelques-uns qui n’ont pas une heure et demie dans le buffet pour jouer un match contre des joueurs internationaux. Mais à ce titre-là, on perd Maksimovic à Lyon, alors que c’est le seul joueur qu’on avait pu prendre depuis deux mois. Et le joueur qui pouvait remplacer Maksimovic, joue dix minutes et prend un carton rouge. C’est là que vous vous dites que c’est très difficile. Donc il faut faire confiance à un jeune.«

Au regard malgré tout du très bon résultat obtenu face au club de la Principauté, le coach Pailladin a-t-il obtenu certaines garanties de son groupe ?

« Je vous ai dit un coup c’est oui ou c’est non. Aujourd’hui, c’était oui. Contre Angers, c’était non. À Lyon, c’était oui. Au Puy, c’était non. Je fais du yo-yo. Je vis avec un yo-yo. Quand ils sont comme ça, j’en perds ma voix de leur expliquer que le football, c’est difficile. Mais là, ils sont bien, ils sont bien dans leur peau. Mais ils sont fatigués, ils sont morts. Il faut sortir du terrain comme ça. Et après, fin mai, on verra où on est.«

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