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·29 marzo 2025
Le PSG répond au Complément d’Enquête « une campagne de diffamation coordonnée »

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·29 marzo 2025
Le porte-parole du Paris Saint-Germain de Nasser Al-Khelaïfi a réagi, pour RMC Sport, sur les accusations envers le président du club parisien dans Complément d’Enquête. Ce dernier regrette les témoignages à charge, orientés et peu crédibles.
« Après neuf mois d’enquête, le programme ne s’est finalement résumé qu’à un enchaînement de témoignages entièrement orientés, provenant d’individus non crédibles – et, dans plusieurs cas, formellement inculpés – ignorant les faits les plus élémentaires et ne prouvant strictement rien. Nous ne comptons pas accorder davantage d’attention à cette campagne de diffamation coordonnée ; nous poursuivrons nos différentes actions judiciaires, en tant que partie lésée, dans lesquelles nous avons une confiance pleine et sereine. »
On est tellement loin du football. Pourtant, cette enquête sort avant une fin de saison prometteuse pour le club parisien. Interroger Véronique Rabiot, que tout le monde connaît, qui assure que la violence faite par les supporters au Parc des Princes est un cas isolé, qui refuse de parler de la violence dans les autres stades, qui nie les âpres négociations, qui ment au sujet d’un stade au Qatar rendu obligatoire par le club au moment de la mort du père d’Adrien Rabiot (démenti par un tweet à date du PSG), c’est avant tout faire une émission à charge.
Il n’y a pas que cela, il y a évidemment des zones d’ombres du président francilien du PSG, mais est-il le seul dirigeant à en avoir ? Ce complément d’enquête est clairement une attaque ciblée. Al-Khelaïfi paye sa réputation d’homme dur, mais il faut aussi lui reconnaître qu’avant d’en arriver là, il donne tout pour les joueurs en question.
Ces derniers ne le lui rendent pas. On aurait aimé que le climat bienveillant autour du PSG dure plus longtemps, mais il y a trop d’opposants à la manière de faire des Qataris, de Nasser Al-Khelaïfi et du PSG. Le football ne règne plus, les coulisses ont pris le pouvoir.