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·2 febbraio 2025

L'OL "félicité" par la DNCG pour "sa gestion du mercato"

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On ne sait pas encore ce que cela donnera sportivement, mais économiquement, l'OL a suivi les instructions de la DNCG lors du mercato hivernal. Celle-ci a "félicité" le club, révèle Laurent Prud’homme.

Avec désormais 24 joueurs, dont quatre gardiens, l'OL a largement réduit son effectif cet hiver. Lors de la fenêtre des transferts, il a recensé pas moins de neuf départs au sein du groupe professionnel (en comptant Adryelson et Jeffinho). Il s'agissait à la fois d'une demande de Pierre Sage, qui n'est plus là, mais aussi d'une obligation financière. Au vu de la menace qu'a fait peser la DNCG en le punissant de la sorte en novembre 2024 - interdiction de recrutement, encadrement de la masse salariale et rétrogradation à titre conservatoire - il n'avait pas le choix.

Alors, il s'est exécuté, se séparant de gros contrats comme celui d'Anthony Lopes et Maxence Caqueret, ou encore en faisant rentrer des liquidités avec Gift Orban. Il s'est plié aux exigences du gendarme financier, qui a visiblement apprécié. "J’ai eu la DNCG au téléphone, qui m’a félicité pour la très bonne gestion du mercato, et pour le respect des règles, a confié Laurent Prud'homme, le directeur général, au Progrès. Si on n’est pas autorisé à recruter, on l’est à faire venir des joueurs dans certaines conditions, tant qu'on respecte à la règle, à travers des prêts gratuits."


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Prud'homme défend la multipropriété

Thiago Almada, seul renfort à ce jour, a pu signer par ce biais-là. Ce que certains ont dénoncé, à l'image des Toulousains. "Que des clubs défendent leur institution au détriment d’autres, ça ne me choque pas. Mais s’ils le défendent sur de fausses informations, je ne suis pas d’accord. Trois quarts des formations de Ligue 1, comme Toulouse, sont d’une manière ou d’une autre concernées par la multipropriété, y compris le PSG, a fait remarquer le dirigeant rhodanien. Le fait que l’on perde 60% de nos droits TV nous impose d’être responsables. Le modèle économique de dépendre uniquement des droits TV ne fonctionne plus. Celui de la multipropriété est un modèle, je n’ai pas dit l’unique modèle, pour générer des revenus par soi-même."

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