Lucas Chevalier (ex-LOSC) ne devrait pas devenir numéro 1 des Bleus avant la Coupe du monde | OneFootball

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·9 settembre 2025

Lucas Chevalier (ex-LOSC) ne devrait pas devenir numéro 1 des Bleus avant la Coupe du monde

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Actuellement en sélection avec l’équipe de France, Lucas Chevalier endosse le rôle de numéro 2 tout en pouvant avoir en tête celui de numéro 1. Mais malgré la situation délicate de Mike Maignan en club, la hiérarchie n’est pas vouée à évoluer dans les prochains mois. Explications.

Lucas Chevalier numéro 2… jusqu’à quand ?

L’élève dépassera-t-il le maître ? Si le poids des années fera inévitablement son travail, la question est plutôt de savoir quand Mike Maignan (30 ans), mentor de Lucas Chevalier (23 ans) durant leurs années communes au LOSC, passera le flambeau à son cadet de sept années. Ce dernier, convoqué pour la première fois en novembre 2024 en qualité de troisième gardien, a déjà pris la place de numéro 2 de Brice Samba (Rennes) cet été. Peut-il espérer celle de titulaire à moins d’un an de la Coupe du monde ?


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Selon les indiscrétioons de L’Équipe, les statuts devraient rester figés jusqu’à la Coupe du monde, « sauf avalanche de bourdes » de la part de Maignan, comme écrit par le quotidien sportif. Si Lucas Chevalier a rejoint le PSG cet été – un sérieux plus pour le staff des Bleus -, il reste encore en retrait de Mike Maignan. Le Milanais a certes traversé une saison compliquée en club, entre erreurs à répétition et non-qualification pour la moindre Coupe d’Europe avec les Rossoneri, mais son vécu, son Euro 2024 abouti et ses performances de haute volée contre la Croatie (en mars) ou l’Allemagne (en juin) sont autant d’arguments qui jouent en sa faveur.

ex-LOSC : que devient Lucas Chevalier ?

« J’ai déjà joué avec Lucas en Espoirs, il a toujours été très fort, avec une forte personnalité. Je suis content pour lui qu’il ait signé au PSG, où il fait de très bonnes choses, applaudissait dimanche Manu Koné, son coéquipier en sélection. Il prend du grade dans une équipe qui joue la Ligue des champions et l’a gagnée avant qu’il arrive. Forcément, il prend une autre posture et c’est pareil en bleu, il a toujours la même assurance depuis qu’il est arrivé. Il est très confiant et se donne les moyens d’être performant. »

À l’entraînement et dans la vie de groupe, son attitude est jugée exemplaire, entre ambition et patience. Avant de se montrer de plus en plus pressé après la Coupe du monde 2026 ?

Crédits photo : Daniel Derajinski/Icon Sport

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