Ludovic Obraniak : “Franchement, le trop plein de matchs banalise. Derrière il va y avoir le Trophée des Champions qu’on a encore intercalé… Trop de matchs…” | OneFootball

“Si pour nous la Coupe du Monde des clubs c’était ça pendant 40 ans ? Si j’étais un peu machiavélique je vous dirais presque que c’était anticipé parce que, quand on se souvient du début de saison dernière, on s’était tous dit que finalement cette année elle allait être complètement détraquée et déréglée. On est revenu dans la banalité de la saison, on fait des émissions tous les jours, on parle de ci et là… Cet été quand ça a repris, on s’est tous dit que ça allait être compliqué, qu’il allait y avoir des blessés donc ce qui était prévu est arrivé. Le Paris Saint-Germain l’a plutôt bien géré. Ils sont dans les clous, plus que dans les clous. Flamengo ne les inquiétera pas sur cette finale. Il sont à Doha, il doit faire 23-24 degrés, Luis Enrique va laisser deux, trois jours par ci par là, ils vont gagner la coupe… Après le match ils vont rester deux jours, un petit passage à la clinique pour avoir un petit bilan complet de santé pour tout le monde… Franchement, le trop plein de matchs banalise. Derrière il va y avoir le Trophée des Champions qu’on a encore intercalé… Trop de matchs…”

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