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·9 ottobre 2025

PSG : Chevalier est un vrai crack, le coach de Courtois annonce

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Débarqué cet été pour prendre la place de Donnarumma, Lucas Chevalier est grandement critiqué pour ses prestations depuis le début de la saison. Soutenu par Luis Enrique, il a aussi été défendu par l'un des plus grands experts mondiaux sur le poste de gardien de but.

Lucas Chevalier vit un début de saison compliqué à Paris. Transféré cet été pour devenir le nouveau numéro 1 du Paris Saint-Germain après le départ de Gianluigi Donnarumma à Manchester City, l’international français est pointé du doigt depuis le début de la saison sur ces performances en dents de scie notamment contre le Barça en Ligue des champions et le week-end dernier en Ligue 1 face au LOSC son ancien club. Son erreur contre l'Olympique de Marseille lui porte aussi préjudice aux yeux des supporters parisiens.


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Chevalier meilleur que Donnarumma selon Thierry Barnerat

Invité hier soir dans l’After Foot sur RMC, Thierry Barnerat, analyste vidéo travaillant notamment auprès de Thibaut Courtois, a tenu à calmer les ardeurs des critiques. Pour lui, tirer un bilan aussi tôt serait une erreur : «Chevalier touche énormément de ballons, c’est vraiment le onzième homme. Il crée à chaque fois la supériorité numérique. On ne voyait pas ça avant avec Donnarumma», explique-t-il, saluant la capacité de l’ex Lillois à se mouvoir dans le système voulu par Luis Enrique. C’est sur le jeu au pied que le technicien suisse est le plus élogieux. Dans ce domaine, Lucas Chevalier aurait déjà apporté un plus considérable. Ses relances rapides, son aisance technique et sa lecture du jeu participent activement à la construction parisienne, un aspect devenu essentiel dans le football moderne. «C’est une volonté claire du coach. À Lille, Chevalier participait déjà beaucoup à la relance, mais à Paris, il devient un acteur majeur du jeu offensif», insiste Barnerat.

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Chevalier aura le temps de s’adapter à son nouveau rôle

Le portier français, désormais beaucoup moins sollicité sur le plan défensif qu’à Lille, doit rester concentré lors de ces longues phases où il n’a pas grand-chose à gérer. «À Lille, il avait beaucoup plus d’arrêts à faire, ce qui lui permettait de rester dans le rythme. Aujourd’hui, il a très peu d’occasions de se mettre en évidence, mais il doit être irréprochable dès que l’adversaire se présente», analyse encore Barnerat. Malheureusement, ses débuts n’ont pas été exempts d’erreurs. Une relance mal dosée contre Tottenham, une anticipation ratée face à l’Olympique de Marseille. Là encore, l’analyste invite à relativiser : «Contre Tottenham, il fait une erreur, mais derrière, il est décisif. Face au Barça, on a tendance à dire qu’il ne fait pas son travail, mais c’est une mauvaise lecture. Il faut juger un gardien sur sa capacité à être décisif, pas sur un ballon mal négocié.»

Lucas Chevalier est encore en phase d’apprentissage. Sa vraie évaluation, dit-il, ne pourra être faite qu’à la fin de l’automne. «C’est trop tôt pour parler d’échec ou de réussite. On pourra tirer un premier bilan fin novembre, quand il aura enchaîné plusieurs gros matchs.» En attendant, le portier parisien doit surtout gagner en sérénité. Soutenu par son entraîneur et son vestiaire, il conserve la confiance du staff, conscient qu’un tel poste exige du temps pour s’adapter à son nouvel environnement lors des matchs.

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