Rennes : Adrien Truffert, priorité de Bournemouth, le club breton reste ferme | OneFootball

Capitaine formé à la maison, Adrien Truffert pourrait bien vivre ses dernières semaines sous les couleurs du Stade Rennais. Mais l’Angleterre devra se montrer plus généreuse.

Déjà actif sur le marché estival, Bournemouth a fait de Truffert sa cible numéro un pour renforcer son couloir gauche. Une première offre de 12 millions d’euros, assortie de bonus, a été formulée mais immédiatement rejetée par le club breton, selon L'Équipe et Foot Mercato. Le message est clair pour les Bretons. Il faudra aligner davantage pour espérer convaincre Rennes de laisser partir son latéral, encore sous contrat jusqu’en 2026. Surtout que Bournemouth a touché presque 60M€ avec la vente de Dean Huijsen au Real Madrid et pourrait en toucher plus de cinquante en cas de départ de Illia Zabarnyi.

À 23 ans, Truffert sort d’une saison solide. Il a disputé 33 matchs de Ligue 1, commençant 91 % des rencontres comme titulaire, avec 2 buts et 2 passes décisives à la clé. L’international français (1 sélection), né à Liège mais formé à Rennes, semble prêt à franchir un cap. Et la Premier League, dont il apprécie l’intensité, l’attire tout particulièrement. Malgré les approches de ses dirigeants pour une prolongation, le joueur ne souhaite pas poursuivre son aventure à Rennes.

Merlin en plan B ?

Dans un effectif en reconstruction et après deux saisons en seconde moitié de tableau, les Rouge et Noir pourraient profiter de cet été pour acter un départ. Les discussions se poursuivent et un accord pourrait être trouvé aux alentours de 15 à 20 millions d’euros. Reste à savoir si Bournemouth, déjà engagé dans le dossier de la vente de Milos Kerkez avec Liverpool, acceptera de revoir son offre à la hausse pour un joueur aussi régulier que convoité. Et Truffert n’est pas le seul latéral français dans le viseur des Cherries. Bournemouth suivrait aussi de près Quentin Merlin. Le joueur de l’OM intéresse depuis plusieurs semaines. Marseille, de son côté, ne s’opposerait pas à un départ si une offre avoisinant les 20 millions d’euros venait à se présenter.

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