Arsenal - PSG : Paris souffre mais mène à la pause, Dembélé décisif ! | OneFootball

A la pause de la demi-finale aller de Ligue des champions, c'est le PSG qui mène sur la pelouse d'Arsenal. Ousmane Dembélé a rapidement débloqué le compteur à l'Emirates dans un premier acte maîtrisé.

À la mi-temps de cette demi-finale aller de Ligue des champions, le PSG mène 1-0 sur la pelouse d’un Emirates Stadium en fusion. Un avantage acquis dès la 4e minute grâce à un Ousmane Dembélé très inspiré. Sur la première incursion parisienne, le Français combine parfaitement avec Kvaratskhelia, qui lui remet un centre en retrait d’une subtile passe de l’extérieur. La frappe de Dembélé, légèrement déviée, heurte le poteau avant de finir au fond. Un coup de massue pour les Gunners, surpris d'entrée.

Mais si Paris a frappé fort, et aurait pu (dû ?) obtenir un penalty sur une faute évidente sur Kvaratskhelia, la fin de la première période a été nettement plus compliquée pour les hommes de Luis Enrique. Après avoir dominé les quinze premières minutes avec une possession largement en leur faveur (67 %), les Parisiens ont progressivement reculé sous les assauts d’un Arsenal revanchard. Saka a multiplié les percées, Martinelli s’est montré dangereux à plusieurs reprises, et Trossard a été très actif. Malgré cela, Donnarumma est resté impérial dans sa cage, captant plusieurs ballons chauds et rassurant une défense parfois débordée.

La parade monstrueuse de Donnarumma

Le PSG a aussi su se montrer dangereux en contre, avec une énorme double occasion à la 31e minute : Dembélé sert Doué, dont la frappe est repoussée par Raya, avant que Ruiz ne touche le poteau sur une action finalement signalée hors-jeu. Si les Parisiens n’ont plus cadré depuis l’ouverture du score, ils n’ont pas été avares d’efforts défensifs, à l’image d’un Marquinhos très engagé et d’un Joao Neves précieux dans le repli.

Arsenal, de son côté, a mis du temps à entrer pleinement dans le match, mais la dernière demi-heure a été largement à son avantage. Les hommes d’Arteta ont fait le siège du camp parisien, multipliant les centres et les frappes, comme celle de Saka à la 39e ou la volée manquée de Martinelli à la 40e. Un penalty a même été réclamé sur un contact entre Merino et Neves, sans que l’arbitre ne bronche. Mais c'est surtout la parade monstrueuse de Donnarumma sur une frappe de Lewis-Skelly qui a

À la pause, Paris mène, mais Paris souffre. Dembélé a été décisif, mais il faudra un PSG plus solide et plus lucide en seconde période pour espérer ramener un résultat positif de Londres. Arsenal, dominateur sur la fin, reste plus que jamais en embuscade.

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