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·10 de outubro de 2025
ASM-OGCN : Quoi de neuf l’arbitre ?

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Dans le très mouvementé derby de la Côte d’Azur, le jeu n’était pas sur le terrain mais plutôt dans le camion VAR. Sur le terrain ou à la régie, on ne souhaiterait pas forcément être à leur place, effectivement.
La FFF a choisi une action éventuellement litigieuse : le pénalty obtenu par l’ASM suite à une main dans la surface de l’infortuné Antoine Mendy. Pourquoi l’arbitre central doit « perdre son temps » à regarder la vidéo au bord du terrain ? Faudrait-il que les arbitres présents dans le camion VAR prennent une décision quand il n’y a pas de doute ?
Lors de l’exécution d’un corner, le Monégasque Mika Biereth reprend le ballon de la tête. Celui-ci heurte alors directement le bras du Niçois Antoine Mendy dans la surface de réparation. L’arbitre ne parvient pas à détecter ce contact difficilement perceptible et laisse le jeu se dérouler. L’arbitre vidéo analyse la nature du contact et considère que ce dernier est sanctionnable. Il préconise l’arrêt rapide du jeu et recommande à l’arbitre un visionnage en bord de terrain. Après avoir pris connaissance des images, l’arbitre décide finalement d’accorder un pénalty. Analyse de la Direction de l’Arbitrage La position du bras est clairement sanctionnable au sens de la Loi 12. En effet, placé à l’horizontale, le bras droit du défenseur augmente artificiellement la surface couverte par le corps. En ayant son bras dans une telle position, le défenseur prend le risque d’être sanctionné par l’arbitre. La situation étant particulièrement complexe à détecter à vitesse réelle sur le terrain, l’arbitre vidéo est intervenu à juste titre pour corriger la décision initiale : un pénalty était bien attendu.
Source : ligue1.com