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·29 de setembro de 2025

ASSE : Ferreira déjà marqué par la ferveur stéphanoise !

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« À Saint-Étienne, je me sens déjà comme chez moi » : João Ferreira raconte sa découverte de la ferveur verte et son acclimatation rapide au Forez.

Un mois après son arrivée à l’ASSE, João Ferreira affiche un large sourire. Interrogé par ICI Saint-Étienne Loire, le défenseur portugais confie : « Je vais bien, merci. Je me sens très heureux. Tout le monde le sait, Saint-Étienne est un club extraordinaire. C’est intéressant d’apprendre à connaitre la taille et le poids de ce club, de voir tout ce que les supporters peuvent apporter, toute cette pression positive qu’ils nous amènent. »


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Très vite, la ferveur stéphanoise l’a marqué. « C’est incroyable. Au Portugal, à part le Sporting, Benfica et Porto, c’est rare d’avoir un club suivi par autant de fans. Mais je sens vraiment une différence ici, avec des supporters qui nous encouragent tout le temps, même dans les moments les moins bons. On sait qu’ils seront toujours là, avec une énergie que l’on ressent tout au long du match. »

Le latéral portugais avoue que l’ASSE lui a déjà offert des émotions inédites : « Même nos entrainements ouverts au public sont incroyables, avec des fans présents pour partager du temps avec nous. Dans toute ma carrière, je n’avais jamais connu un club où les supporters sont présents de cette façon-là, tous les jours. C’est tout simplement magnifique. »

João Ferreira face à son quotidien stéphanois

Installé, Ferreira découvre peu à peu sa nouvelle vie : « C’était difficile de le faire lors des premières semaines car je voulais d’abord trouver un logement et m’installer. J’ai juste découvert Ikea pour acheter des meubles et quelques magasins comme Leclerc et Auchan pour faire mes courses, c’est tout. Quelques supporters ont semblé me reconnaître, se demandant si j’étais le nouveau joueur qui venait d’arriver à l’ASSE. D’autres sont venus gentiment me voir pour simplement m’encourager et me souhaiter bonne chance. »

Si la ville lui plaît, un défi persiste : « Ce qui n’est pas facile aujourd’hui pour moi en France, c’est la langue. C’est le seul obstacle que je rencontre, le reste de mon quotidien peut ressembler à ce que j’ai expérimenté dans d’autres pays. » Mais Ferreira garde le sourire : « Je ne me fais pas de soucis, je n’en suis qu’à deux semaines de classe de français et j’espère un jour pouvoir tenir une conversation avec vous dans votre langue, peut-être avant la fin de l’année si tout va bien (rires). »

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