ASSE - La réaction d'Eirik Horneland après la gifle reçue par les Verts face au FC Annecy | OneFootball

La réaction d'Eirik Horneland, entraîneur de l'ASSE, après la lourde défaite face au FC Annecy (4-0, J11 L2).

Rapidement menée et réduite à dix, l'AS Saint-Etienne a été corrigée par le FC Annecy (4-0, analyse et notes), ce samedi soir, lors de la 11ème journée de Ligue 2. Au micro de nos confrères de beIN SPORTS, Eirik Horneland (50 ans), l'entraîneur des Verts, a tenté de mettre des mots sur cette énorme déconvenue. Comme très souvent ces dernières semaines, le technicien norvégien a déploré le manque d'intensité et d'engagement de son équipe.

"Peut-on parler de football ? Je crois qu'on n'a pas vu de football ce soir. Il y avait un manque de résilience, d'engagement, d'attitude. Il y a évidemment ma responsabilité, qui est de 100%. Il va falloir analyser ce match, comment nous l'avons abordé. Voilà ma réponse. C'est un problème que nous avons, qu'il faut résoudre, c'est ma responsabilité que de le faire. On n'a pas réussi à jouer un bon football, tout commence avec l'énergie. Aujourd'hui, elle n'était pas présente, insuffisante. C'est un problème sérieux", a tout d'abord indiqué le tacticien de l'ASSE.

Eirik Horneland : "Des choses qu'il va falloir réparer, sinon on ne va pas pouvoir continuer"

"Une cassure avec les joueurs ? C'est difficile de répondre. De mon point de vue, l'engagement dans un match doit être plus important, on manque de concentration. Ce sont des choses qu'il va falloir réparer, sinon on ne va pas pouvoir continuer. Le carton rouge et l'absence de changement ? Pour moi, tout vient du début du match, qui a été très compliqué. Il y avait une fragilité initiale. Avec ce carton rouge, c'était encore plus dur. On a réussi, ensuite, à avoir un peu plus de contrôle, mais il y avait un problème de rythme dès le début. Urgence pour les Verts ? On ne peut pas perdre 3 des 4 derniers matches avec tous les talents que nous avons dans notre équipe. Ce qu'il nous manque, c'est l'attitude, l'engagement. Il y a de la pression à Saint-Etienne, il faut savoir la prendre", a ajouté Eirik Horneland.