Barça : le vestiaire abattu par la décision de Nico Williams ? | OneFootball

Comment le vestiaire du Barça a-t-il réagit suite à l'annonce de la prolongation de Nico Williams à l'Athletic Club alors qu'il devait s'engager avec les Blaugran ?

Depuis plusieurs semaines, tout semblait calé : Nico Williams, star montante de l’Athletic Club et cadre de la Roja, devait rejoindre le Barça cet été. Mieux encore : selon plusieurs sources proches du dossier, c’est le joueur lui-même qui avait initié le contact, envoyant son agent discuter directement avec Deco, le directeur sportif des Blaugrana.

Pendant le rassemblement de l’équipe d’Espagne, l’ailier de 21 ans n’avait cessé de répéter à Lamine Yamal, Pedri ou Dani Olmo que cette fois, il signerait au Barça. Les réseaux sociaux s’étaient même enflammés sur des clins d’œil à peine voilés. Mais tout a basculé en quelques heures. Alors que l’accord semblait imminent, les exigences de l’agent de Nico, notamment une clause libératoire en cas de non-inscription du joueur, ont fait capoter le deal.

Un vestiaire abattu ?

En parallèle, Bilbao verrouillait discrètement une prolongation XXL : un contrat jusqu’en 2035 avec une hausse massive de salaire. Et là, le retournement de situation. Le 4 juillet, en pleine nuit, Bilbao publiait une vidéo annonçant sa prolongation. "Je suis là où je veux être, avec les miens, c’est chez moi", déclare-t-il.

Du côté du vestiaire catalan, la déception est palpable, comme l'explique le quotidien Sport. Nico avait convaincu tout le monde, certains joueurs s’étaient même engagés publiquement. Lamine Yamal, son plus fervent soutien, a été le premier prévenu de la volte-face. Mais pour d’autres comme Raphinha ou Dani Olmo, le revirement passe mal, comme en témoignent leurs réactions discrètes mais éloquentes sur les réseaux sociaux.

Le Barça, qui voyait en Williams un renfort offensif idéal pour Hansi Flick, doit maintenant réactiver d’autres pistes : Luis Díaz, Rashford ou encore Bernardo Silva sont dans le viseur. Mais l’échec Nico laisse un goût amer. Non seulement pour le club, mais aussi pour ceux qui l’attendaient déjà dans le vestiaire.

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