ex-LOSC : Victor Osimhen prêt à aller au clash pour quitter le Napoli ? | OneFootball

Suivi en Europe et notamment par le PSG, Victor Osimhen pourrait forcer son départ et ne plus s’entraîner avec le Napoli, alors que le club italien fait preuve de fermeté sur son cas.

Le Napoli toujours en position de force ?

Est-on aux prémices de l’un grands feuilletons de l’été du football européen ? Quoi qu’il en soit, le contexte actuel autour de Victor Osimhen le laisse à penser. Suivi par bon nombre de cadors européens, ardemment courtisé par le PSG mais retenu par son club et Antonio Conte qui comptent sur lui, l’attaquant nigérian est au cœur d’une bataille pour laquelle le Napoli se montre intransigeant : la clause libératoire de 130 millions d’euros, ou rien.

En ce sens, le club parisien a proposé à son homologue napolitain d’inclure un joueur dans la négociation. Un mode opératoire qui ne déplaît pas forcément au champion d’Italie 2022/2023. Reste que l’opération est pour le moins compliqué avec Aurelio De Laurentiis, l’emblématique et singulier président du Napoli. Et pour forcer son départ, Victor Osimhen réfléchirait à ne plus s’entraîner et à aller au clash avec les Partenopei, comme indiqué par la presse italienne et rapporté par L’Équipe. Une manière risquée et souvent mal vue d’afficher ses envies, mais que l’ancien Lillois juge probablement nécessaire pour s’envoler sous d’autres cieux.

D’autant que le Napoli a posé un ultimatum d’après Sport Mediaset : un accord avec le PSG doit être trouvé d’ici le 25 juillet, soit l’entame de la deuxième partie du camp d’entraînement à Castel di Sangro. Seulement neuf jours pour parvenir à un accord sur un dossier épineux, un délai très court pour ce genre d’opération. Le Napoli a un atout dans sa manche pour faire plier le PSG : la perspective de l’Arabie saoudite, toujours autant intéressée par l’avant-centre de 25 ans et qui pourrait s’activer en se posant moins de questions, notamment d’un point de vue financier. Autant que si le futur proche de Victor Osimhen s’annonce mouvementé, il n’est pas plus en passe d’être réglé.

Crédits photo : Alessandro Garofalo/Lapresse