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·29 de setembro de 2025
Gaël Kakuta : “Heureusement que je n’ai pas signé à Bordeaux”

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·29 de setembro de 2025
Sur RMC, Gaël Kakuta s’est remémoré son départ d’Amiens pour l’Iran en 2024-2025, et plus précisément l’Esteghlal FC. Si les Girondins de Bordeaux n’étaient pas tombés à ce moment-là dans le monde amateur, il aurait pu y signer.
« En Iran, je n’ai pas envie d’y aller. Six mois avant, on joue la CAN avec le Congo, ça se passe très bien, et Besiktas vient prendre des informations. On discute très bien, je suis à deux doigts d’y signer, sauf que c’était entre moi et James Rodriguez. Ça ne s’est pas fait à la dernière minute, du coup je retourne à Amiens, et je me dis que c’est quand même bien, que c’est motivant, qu’il y a eu quand même l’intérêt d’un bon club. Je finis bien ma saison, et à la fin de saison il y a des clubs qui sont intéressés. Il y en avait déjà pas mal en janvier pendant la CAN, mais je me suis dit que j’allais finir ma saison et qu’on verrait en été. Arrivé à l’été, il n’y a quasiment plus personne. Il y a Bordeaux qui… On me parle de Bordeaux sauf qu’une semaine après, on me parle de la chute de Bordeaux, du coup heureusement que je n’ai pas signé à Bordeaux (rires). Avec tout le respect que j’ai pour Bordeaux, mais heureusement… (sourire). Et il y avait d’autres clubs, mais ce n’était pas trop ça. Il y avait des clubs turcs aussi. Finalement, je reçois un message, et une femme agent qui me parle… Je vois les drapeaux Emirats Arabes, je me dis qu’on va se mettre bien une dernière fois quand même (rires). Elle écrit à mon agent, et finalement ça me parle d’Iran. Je dis que je ne vais pas y aller, sauf que plus le temps passe, et plus ils sont sérieux. Ils me font un vrai contrat… Je me dis que bon… J’avais fait beaucoup de pays, mais là c’est l’Iran quand même. J’ai eu aussi un problème avec les impôts, je me suis mangé une bonne poutre ici en France (rires), donc je me dis que ça va quand même m’aider… J’étais en train de me dire que j’allais arrêter, et je n’ai pas envie d’y aller jusqu’à la dernière minute… C’est là que ma vie a basculé parce que c’est là-bas que je trouve Jésus… Il y a quelque chose qui m’envoie là-bas, c’est vraiment le Saint-Esprit qui me pousse à y aller… ».
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