Girondins de Bordeaux : L'ancien salarié Julien Mondon répond cash à Arnaud De Carli - "On n'oubliera jamais !" | OneFootball

La déclaration d'Arnaud De Carli, vice-président des Girondins de Bordeaux affirmant que Gérard Lopez "a toujours répondu présent financièrement", a provoqué la colère de Julien Mondon. Cet ancien salarié historique du FCGB a répliqué sur X (ex-Twitter) par un cinglant "On n'oubliera jamais". Retour sur ce clash révélateur des tensions persistantes autour du club bordelais.

Les propos d'Arnaud De Carli sur TV7 à propos du plan de continuation : "On y travaille sérieusement depuis plusieurs mois. C'est un gros dossiers, lourds à porter. On a un actionnaire principal qui a toujours répondu présent financièrement. Il s'est engagé à le faire une nouvelle fois. On a bien avancé sur la restructuration la dette. On y va sereinement pour réussir cette étape importante pour le club et son avenir."

C'est la vie ...

"Je suis chef d'entreprise, mais c'est la vie d'un chef d'entreprise d'avoir des créances. On sait que cela peut arriver. Beaucoup de créanciers, de société continuent à travailler avec nous et nous font confiance. C'est difficile d'avoir un fournisseur en redressement, judiciaire, j'en suis conscient.

Le plan sur 6 ans est réel. Ce plan financier fait état de deux ans par divisions, donc six ans pour arriver dans l'élite. C'est un business plan qui existe, même si on ne dit dit pas qu'on va y arriver."

Julien Mondon lui a répondu. Il a été salarié pendant 18 ans, 7 mois et 16 jours aux Girondins de Bordeaux avant de quitter le club, après la vague de licenciement cet été à la suite de la rétrogradation administrative, de la perte du statut pro, et de la mise en redressement judiciaire.

"Dire que l'actionnaire a toujours répondu présent financièrement, faut pas manquer de souffle"

Il réagit aux propos du vice-président : "Dire que l'actionnaire a toujours répondu présent financièrement, faut pas manquer de souffle... C'est justement parce qu'il ne l'a pas fait qu'il y a eu 90 personnes sur le carreau, des dizaines de jeunes sans club, des centaines de créanciers. On n'oubliera jamais."

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