OnzeMondial
·16 de outubro de 2025
Il a été trop loin sur Thauvin, Acherchour s’excuse

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·16 de outubro de 2025
Particulièrement acide sur le hype Florian Thauvin il y a quelques jours, Walid Acherchour est sorti du silence sur le sujet ces dernières heures.
Ces derniers jours, Walid Acherchour n’avait pas mâché ses mots à propos de Florian Thauvin. Après la victoire de l’équipe de France contre l’Azerbaïdjan (3-0), et une entrée remarquée du Lensois, le chroniqueur avait exprimé son malaise à la vue d'une vidéo où il remontait le vestiaire avec une prise de parole forte à la pause. « J’ai été très gêné par cette vidéo. Le voir prendre la parole à la mi-temps alors que ça fait six ans qu’il n’est pas venu en sélection… Je ne sais même pas si Michael Olise le connaît, par exemple », avait-il déclaré sur RMC, qualifiant sa remarque de « boutade ».
Hier soir, mercredi, Acherchour a tenté un mea culpa sur Génération After. « Sur Florian Thauvin, je n’aurais pas dû dire cette phrase-là sur Olise. Apparemment, elle l’a touché, ou elle a pu faire du mal. Cela a pu être perçu comme un manque de respect envers Florian Thauvin et ce n’était pas mon idée. »
Malgré ce début d’excuse, le consultant a insisté sur sa surprise face au retour de Thauvin après six ans d’absence. « Ce que je voulais juste expliquer, c’est que j’étais gêné que Thauvin arrive comme ça à la mi-temps et s’exprime de cette manière… J’ai dit que l’équipe de France avait changé, qu’il y avait une nouvelle génération. Pourquoi je prends Olise ? J’ai pas pris un joueur français, qui a un cursus français… Pour moi, Thauvin, il devait attendre un petit plus pour être ce leader, surtout qu’il était 7e remplaçant. »
Mais Acherchour a néanmoins reconnu la légitimité du joueur après sa performance. « Sa rentrée déterminante et fracassante m’a fait fermer ma bouche sur sa légitimité à être sélectionné. Je préfère les actes aux paroles. » Le chroniqueur a enfin conclu sur un ton conciliant : « L’importance dans un vestiaire ne fait pas une vérité absolue sur le fait d’être leader ou pas. Mandanda n’était pas titulaire, mais c’était un leader. Thauvin, il doit faire ça après l’Azerbaïdjan, quand il a marqué. »
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