Jean-Christophe Thouvenel : “J’avais un plan B. J’avais envie d’être agriculteur, et éleveur de moutons. A 16-17 ans, je suis parti de chez moi, j’ai été vivre en communauté” | OneFootball

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·29 de setembro de 2025

Jean-Christophe Thouvenel : “J’avais un plan B. J’avais envie d’être agriculteur, et éleveur de moutons. A 16-17 ans, je suis parti de chez moi, j’ai été vivre en communauté”

Imagem do artigo:Jean-Christophe Thouvenel : “J’avais un plan B. J’avais envie d’être agriculteur, et éleveur de moutons. A 16-17 ans, je suis parti de chez moi, j’ai été vivre en communauté”

Dans Le Podcast des Légendes, l’ancien latéral droit des Girondins de Bordeaux, Jean-Christophe Thouvenel, s’est exprimé sur ce qu’il aurait fait s’il n’avait pas été footballeur professionnel.

« Oui, j’avais un plan B. C’était, comme le foot, un vaste sujet de discussion avec mon père… J’avais envie d’être agriculteur, et éleveur de moutons. A partir de 16-17 ans, je suis parti de chez moi, et j’ai été vivre en communauté. On était une dizaine dans une même maison, et c’était un peu la période hippie… J’étais influencé par les gens autour de moi, qui étaient mes amis, mais influencé dans le bon sens. Ils me regardaient de manière curieuse, se demandant ce que j’allais faire dans le monde du business… Ils me disaient de rester avec eux, qu’on allait vivre en communauté dans le Larzac, etc… Il y a tout un tas de choses qui étaient échafaudées, et mon père n’était pas forcément non plus d’accord sur le principe (rires). Bref, je ne lui ai pas donné le choix, vraiment. Maintenant, j’ai des enfants et petits-enfants, donc on a une autre vision des choses bien sûr. Mais quand on a 16-17 ans, on pense qu’on détient la vérité, et quand on regarde sa caisse à outils à côté de soi, on pense qu’elle est pleine de tous les outils pour la vie… La seule chose, c’est qu’on ne sait pas forcément tous les utiliser (sourire). Bref, ça a été une période marrante, que je ne regrette pas du tout ».

Puis, l’ancien bordelais précise.


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« J’avais une forme d’indépendance parce que je subvenais à mes besoins, et mon caractère bien trempé, je pense que je l’ai gardé toute ma vie. Je l’avais dès le départ, et je l’ai cultivé, arrosé un peu, parfois un peu trop, mais ça a été la pierre fondamentale de ce qui s’est passé en suivant dans ma carrière professionnelle et dans ma vie ensuite ».

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