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·09 de outubro de 2025
Jean-Pierre Papin : “Dans un vestiaire c’est ça en fait, ça va très loin, très vite, très fort et le lendemain tout le monde s’est passé les nerfs et on n’en parle plus”

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·09 de outubro de 2025
Dans Rothen s’enflamme sur RMC, Jean-Pierre Papin, ancien joueur des Girondins de Bordeaux et consultant, s’est exprimé sur le milieu Adrien Rabiot. Il a répondu à une interview et il est notamment revenu sur son départ de Marseille après une altercation avec un coéquipier. Il parle d’incompréhension de te trahison. Le sujet était :
Comprenez-vous la communication de Rabiot ?
“Si je suis surpris par sa communication ? Non, je ne suis pas surpris par sa communication. Moi sincèrement, par rapport à cette histoire j’aurais préféré que ça ne sorte jamais, même si c’est arrivé dans le vestiaire. Je ne sais pas pourquoi c’est sorti parce que ce qui arrive dans un vestiaire doit rester dans un vestiaire. Ça a toujours été le cas chez moi. Après il faut s’expliquer, ce n’est jamais facile de s’expliquer sur un tel fait. Mais je pense qu’aujourd’hui, quand on parle des supporters de l’OM, je pense qu’ils n’en ont rien à faire de cette histoire. Ce qui est important pour un supporter de l’OM c‘est qu’aujourd’hui le club soit là où il est au classement et que le club marche bien. Le reste, je pense qu’ils s’en moquent. Après, bien évidemment qu’Adrien a fait partie d’une saison quand même excellente. L’année dernière il a fait une saison incroyable, c’était magnifique. Mais aujourd’hui il n’est plus là, il a trouvé un club qui est aussi un des plus grands d’Europe. Il a fait un super de saison et je pense que cette histoire est close, il ne faut plus en parler.”
Il a lui-même pu voir des bagarres pendant sa carrière :
“La pire bagarre à laquelle j’ai assisté ? Moi par exemple, j’ai vu au Bayern Lothar Matthäus et Mehmet Scholl se mettre grave ! Mais quand je te dis grave, c’est grave ! Mais le lendemain, quand tu reviens à l’entraînement, tu prends peur parce qu’ils s’embrassent. Dans un vestiaire c’est ça en fait, ça va très loin, très vite, très fort et le lendemain tout le monde s’est passé les nerfs et on n’en parle plus. Pour un peu que les dirigeants soient rentrés dans le truc, qu’ils aient téléphoné ‘Qu’est-ce qu’il se passe, etc ?’… Et le lendemain il n’y a plus rien.”
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