Josuha Guilavogui : “J’ai seize ans de carrière, j’ai été vraiment heureux sept années” | OneFootball

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·05 de julho de 2025

Josuha Guilavogui : “J’ai seize ans de carrière, j’ai été vraiment heureux sept années”

Imagem do artigo:Josuha Guilavogui : “J’ai seize ans de carrière, j’ai été vraiment heureux sept années”

Pour Dessous de Verts, l’ancien milieu de terrain et capitaine des Girondins de Bordeaux, Josuha Guilavogui, a expliqué que durant sa longue carrière, il n’avait pas tout le temps été vraiment heureux.

« J’ai seize ans de carrière, j’ai été vraiment heureux sept années. Moins de la moitié. Dans les sept années, il y a les trois années à Sainté, où c’est fabuleux, je suis jeune pro, je suis vraiment content. On fait des belles années, on arrive aux portes de l’Europe, on gagne la Coupe de la Ligue, et je vais en Equipe de France. Ensuite, il y a trois années à Wolfsburg. Les deux premières années où on fait quart de finale d’Europa Ligue, on est vice-champions, et on gagne la Super Coupe. L’année qui suit où on va en quart de finale de Ligue des Champions. Et l’année où je suis capitaine, avant le Covid, où on va en Europa Ligue. Après, ça a été plus ou moins mitigé, mais je ne définirai pas les autres années comme étant heureux. Certes, j’étais capitaine, on a joué de la Ligue des Champions, l’Europa Ligue, mais je n’étais pas heureux dans mon football. Et sinon, là, c’était la septième année, enfin du coup six ans et demi, soit les sept derniers mois à Leeds. Quand j’ai posé cette même question aux joueurs de Leeds, il y en a qui avaient 30%, d’autres 40%, et même chez les jeunes ».

Pourtant, on dit que c’est le plus beau métier du monde…


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« Il y a beaucoup de facteurs aléatoires qui influencent la capacité à être réellement heureux. Après, bien sûr, on a tous notre degré de bonheur, mais en tant que sportif, c’est qu’il faut être bon, il faut jouer, il faut gagner. A la fin de la semaine, il y a 25% de chance que tu sois heureux. C’est très compliqué, mais c’est la réalité en tant qu’athlète. Il faut être prêt à souffrir pour toucher les petits moments de summum, d’extase, qui font que tu oublies tout. Ces sept derniers mois à Leeds ont peut-être gommé quatre années… »

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