Le Real Madrid s’aventure dans l’inconnu avec la Coupe du monde des clubs de la FIFA | OneFootball

Le Real Madrid participera à la nouvelle édition de la Coupe du monde des clubs de la FIFA en juin prochain. L’organisation qui régit le football mondial a promis à chaque club participant une somme de 50 millions d’euros pour le simple fait de participer au tournoi.

Toutefois, d’après Relevo, la FIFA n’a pas encore indiqué le montant auquel elle vendra les droits télévisés ni quelles entreprises les acquérront. Ces derniers ont été mis en vente en juillet dernier et à 210 jours du début du tournoi, il n’existe aucune information concernant leur potentielle acquisition.

Le Real Madrid et la FIFA entretienne une bonne relation, notamment en raison du soutien implicite d’Infantino au projet de Super Ligue européenne. Toutefois, le club de Chamartín souhaite obtenir plus d’informations concernant la Coupe du monde des clubs et être rassuré quant au montant de la somme qu’il empochera pour sa participation.

Le Real Madrid souhaite obtenir des informations le plus tôt possible

La FIFA a modifié le format de sa compétition pour la rendre plus attractive. Désormais, 32 équipes du monde entier y participeront. Les droits télévisés seront vendus de manière indépendante pour les diverses régions du globe. Il est prévu qu’ils soient divisés entre l’Amérique, l’Asie, l’Europe, le Proche-Orient, l’Afrique du Nord et l’Afrique subsaharienne.

Outre les droits télévisés, il existe d’autres inconnues par rapport à la compétition. À l’exception d’Hisense, les autres sponsors du tournoi ne sont pas encore connus. De plus, même si les lieux où se disputeront les rencontres ont été dévoilés, les équipes participantes ignorent encore dans quelles villes elles joueront.

Le Real Madrid espère pouvoir en savoir plus prochainement, notamment sur le montant qu’il empochera pour sa participation. Le marché américain s’est avéré fructueux pour lui récemment, notamment en ce qui concerne les ventes en ligne. Il espère donc pouvoir maintenir sa bonne dynamique économique outre-Atlantique.

Gjon Haskaj