Le Journal du Real
·11 de dezembro de 2025
Les féminines du Real Madrid se rappellent au bon souvenir de Wolfsburg

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·11 de dezembro de 2025

Elles avaient besoin d’une réaction après les revers face au Barça et à Arsenal, et les joueuses du Real Madrid ont répondu présentes avec une prestation d'une lucidité remarquable en Ligue des champions. Très vite, les Madrilènes ont trouvé leurs repères : agressives dans les duels, solides dans leur pressing, et surtout dangereuses sur les coups de pied arrêtés.
C’est justement sur corner qu’est survenu le premier but : la délivrance est venue de María Méndez, impeccable au premier poteau pour tromper la gardienne allemande. Une réalisation précieuse qui a permis au Real Madrid d’aborder le match avec confiance face à un géant européen, habituellement intraitable dans ce type de rendez-vous.
Mais l’exploit a failli s’effondrer juste avant la pause. Lakrar, déjà avertie, a commis une seconde faute qui lui a valu un carton rouge logique. Du rêve au cauchemar en quelques secondes. À dix pour toute la seconde période et face à une équipe dotée de stars comme Popp ou Huth, comme souligné par OkDiario, le Real Madrid semblait condamné à subir. Quesada a alors dû revoir entièrement son plan. Redondo a laissé sa place à Gálvez pour reconstituer une défense solide. Le défi devenait insurmontable, mais les joueuses n’ont pas lâché.
La seconde période a été une vraie démonstration de résistance. Wolfsburg a confisqué le ballon, multiplié les centres et sollicité Misa Rodríguez encore et encore. La Casa Blanca a plié, s’est tordue, mais n’a jamais rompu. Les Madrilènes ont tenté de respirer grâce aux courses de Feller et Linda Caicedo.
Jusqu’à un moment décisif : une récupération, une inspiration de Caroline Weir, et une explosion de vitesse de Caicedo. Lancée depuis son propre camp, la Colombienne a avalé les espaces, éliminé Johannes et conclut d'un sang-froid clinique. Le Di Stéfano a tremblé. Ce 2-0, contre le cours du jeu, récompensait un courage admirable.
La fin de match, pourtant, allait ajouter une dose supplémentaire de souffrance.Dans un énorme choc avec la gardienne allemande, Iris Ashley a vu rouge directement après que son pied ait heurté le visage de Johannes. Le Real Madrid a donc fini à neuf, tenu par l’énergie du désespoir dans un temps additionnel interminable.
Mais l’équipe a tenu, repoussant chaque offensive allemande pour conserver non seulement la victoire, mais aussi un avantage de deux buts qui peut peser lourd au niveau de la différence de buts. Une prestation qui restera dans les annales, symbole d’un groupe capable de souffrir autant que de briller.
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