Ludovic Obraniak : « Son atout particulier à Aurélien Tchouameni c’est sa force physique, sa stature. Sur ce match on le voit, il fait deux centimètres » | OneFootball

« Sur ce match c’est un problème de niveau. Pour Camavinga, tu es au Real depuis quelques années maintenant, tu touches au niveau international, tu touches au niveau Champions League… Sa faute (dans la surface), elle est bête, elles est injustifiée, elle est stupide. Dans un match comme celui-là tu dois avoir la lucidité vu ton expérience maintenant, de ne pas commettre. Ces fautes-là sont quand même assez récurrentes. Pour Tchouameni c’est pareil. Il est quand même capitaine de l’Equipe de France, on a tendance à l’oublier. Je ne vois pas le leader potentiel ou le charisme potentiel dans un tel match d’Aurélien Tchouameni. A un moment donné, certes il se fait jongler une fois peut-être, mais après, vu sa stature, son gabarit, il doit réagir, il doit envoyer du bois. Rüdiger est le seul à avoir un peu déchaîné la foudre, c’est-à-dire qu’il est monté deux, trois fois, il a enquillé deux, trois mecs en disant ça suffit cinq minutes de se faire jongler par tout le monde. Mais dans ce match-là, vu les petits gabarits du Barça, tu dois imposer ta force physique. Son atout particulier à Aurélien Tchouameni c’est sa force physique, sa stature. Sur ce match on le voit, il fait deux centimètres. »

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