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·29 de dezembro de 2025
Marquinhos se lâche : Dembélé, progression, Luis Enrique et Ligue des Champions

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·29 de dezembro de 2025

L’année 2025 a été exceptionnelle pour le Paris Saint-Germain vainqueur notamment de la Ligue des Champions en mai dernier. Présent au sein du club depuis 2013, Marquinhos, défenseur et capitaine de 31 ans, a tout connu sous les couleurs parisiennes. Auprès de RTL, ce dernier est revenu sur cette finale face à l’Inter Milan, gagnée 5-0 et qui a permis au PSG de marquer définitivement son histoire, ainsi que sur le défi pour la suite, l’apport du coach Luis Enrique et l’ascension d’Ousmane Dembélé (attaquant de 28 ans).
On a parlé de la réussite en janvier 2025, Ousmane Dembélé représente cette métamorphose, ses performances jusqu’au Ballon d’Or vous ont-elles surprise ?
«Nous savions que c’était un joueur de grand talent. Mais c’est vrai que janvier jusqu’à la finale il a fait un parcours incroyable. C’est très important d’avoir un joueur de ce niveau dans une équipe.»
Vous êtes au club depuis 2013, quel est votre rôle aujourd’hui dans le club ? Vous avez un rôle de transmission ?
«Toujours. On ne m’a jamais dit de le faire, mais je pense que, comme ils l’ont fait pour moi, je dois aussi transmettre ces choses, ces valeurs du club pour les nouveaux ou les jeunes du club. Avoir ce rôle, c’est important pour un capitaine.»
Qu’est-ce que cette année a changé pour le PSG dans le regard des autres clubs ?
«Je pense qu’il y a plus de respect pour être champion oui. Mais tout va très vite dans le football. Il faut garder l’exigence, même si on a été champion, on est maintenant dans une nouvelle année. Toutes les équipes veulent gagner contre nous. C’est très dur de gagner, mais continuer de gagner l’est encore plus. Nous voulons encore marquer l’histoire.»
Qu’est-ce qu’a apporté Luis Enrique pour vous emmener vers le succès ?
«Il a su travailler dans tous les plans. Ce n’est pas que le milieu de terrain, ce n’est pas que le ballon. Le football de haut niveau, c’est aussi du mental, de la récupération, de l’exigence. Il a su travailler sur tous ces plans-là. Il a su aussi nous préparer sur tout ce qui pouvait se passer dans un match, avec ou sans le ballon.»
Pensez-vous demander la nationalité française ?
«On travaille pour cela avec ma femme. Pour symboliser tout ce que Paris et la France m’ont apporté.»
Avez-vous eu peur de ne jamais la toucher cette Ligue des Champions ?
«Oui, c’est pour cela que je l’apprécie encore plus. Le chemin était très long et difficile, mais on a vu durant cette période les erreurs et les choses qu’il fallait changer. C’était un objectif, pas une obsession. Le club a travaillé pour cela sans mettre de pression en plus sur les joueurs.»
Quel sentiment vous traverse pendant cette finale ?
«Tout le parcours qu’on a fait nous a montré qu’il fallait garder notre concentration jusqu’à la fin. Là j’entends nos supporters crier » on est champion » et c’était dur de contrôler mes émotions à ce moment-là. On a très bien préparé cette finale et le match a tourné pour nous. On a appliqué le plan du coach et tout a super bien marché.»









































