Matias Soulé « Je me vois rester à la Roma – Jouer avec l’Italie ? Non merci, je suis Argentin ». | OneFootball

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·16 de outubro de 2025

Matias Soulé « Je me vois rester à la Roma – Jouer avec l’Italie ? Non merci, je suis Argentin ».

Imagem do artigo:Matias Soulé « Je me vois rester à la Roma – Jouer avec l’Italie ? Non merci, je suis Argentin ».

Matias Soulé s’est exprimé dans une longue interview accordée à Il Messaggero. L’Argentin revient sur son parcours depuis son arrivée en Italie, notamment à la Roma : de l’appel de De Rossi aux moments difficiles qu’il a traversé la saison dernière.

Gasperini a récemment déclaré que la Roma n’avait pas une équipe pour la Ligue des champions et que le classement n’était pas significatif. Êtes-vous d’accord ?

« Je pense qu’il dit vrai, nous ne sommes pas encore en Ligue des Champions, mais nous voulons y parvenir. C’est très important pour nous, et c’est notre objectif principal. Il ne faut pas trop s’emballer pour l’instant; ce ne sont que les premiers matchs, et il faut se concentrer sur la régularité ».


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L’année dernière, Ranieri vous a fait jouer sur tout le côté, un rôle qui n’est pas vraiment le votre. À quoi pensiez-vous à ce moment-là ? Aviez-vous l’impression que ce travail pourrait vous aider ?

« Jouer milieu de terrain arrière m’a beaucoup aidé à comprendre différentes situations et différents styles de jeu, que je peux désormais interpréter en match. Évidemment, il y a des postes que je préfère, comme celui que j’occupe actuellement. Gasperini, après m’avoir vu jouer ainsi avec Ranieri, m’a dit que je pourrais être utile à ce poste lors de certains matchs, et je n’y vois aucun inconvénient. Je suis pleinement disponible, comme toujours ».

Vous êtes très jeune, mais vous avez déjà eu plusieurs entraîneurs : Allegri, Di Francesco, De Rossi, Juric, Ranieri et maintenant Gasperini. Que vous ont apporté ces entraîneurs ?

« Je n’ai pas beaucoup joué avec Allegri, mais je m’entraînais et il a toujours pris en considération mes qualités. Par exemple, il m’a appris à être compact, c’est comme ça qu’on dit ? Il ne voulait pas que le ballon rentre : si on essaie de sortir avec le ballon et qu’il passe la ligne, il peut devenir fou, même à l’entraînement. Allegri, cependant, est aussi le genre d’entraîneur qui vous laisse une liberté totale en attaque; vous pouvez faire ce que vous faites le mieux, comme le font de grands entraîneurs comme lui, Ranieri, Di Francesco et Gasperini. Si vous êtes performant défensivement, le but viendra d’une manière ou d’une autre; les grands entraîneurs sont généralement ceux qui sont comme ça. Di Francesco et Gasperini se ressemblent davantage, ils sont plus tactiques, ils veulent que vous jouiez le ballon, ils aiment avoir la possession. Mais la phase défensive recquiert une attention maximale comme chez tous les autres ».

Avez-vous refusé la Nazionale sous Spalletti ? Y a-t-il eu des changements depuis la déclaration de votre agent il y a quelques jours ?

« Non, c’est pareil. Je me sens Argentin, je suis Argentin. C’est ce que j’ai dis à Spalletti, que je remercie. Mon idée reste la même : jouer pour l’Argentine. Mon agent était peut-être un peu en colère en lisant les convocations de Scaloni. Mais personne en Italie ne m’a contacté depuis, et même si c’était le cas, je dirais « non merci ». Mon idée, comme toujours, est de jouer pour la Seleccion. Je sais bien sûr que ce n’est pas facile, car il y a beaucoup de joueurs forts là-bas. Je suis évidemment ravi de l’intérêt d’une équipe nationale forte et historique comme l’Italie; j’en suis fier, mais je ne change pas d’avis. J’aimerais jouer pour l’équipe du pays où je suis né ».

Que vous êtes-vous dit dans le vestiaire après avoir raté les trois penalties contre Lille ?

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