Foot Africa
·26 de setembro de 2025
Mondial 2026 (Q) - Algérie : la FIFA dévoile les hommes en noir (Officiel)

In partnership with
Yahoo sportsFoot Africa
·26 de setembro de 2025
Mondial 2026 (Q) : l’Algérie connaît ses arbitres (Officiel)
Mondial 2026 (Q) - Algérie : la FIFA dévoile les hommes en noir (Officiel)
Le cadre est posé, la FIFA a désigné les directeurs de jeu des deux dernières étapes des éliminatoires pour l’Algérie, en tête d’un groupe G qu’elle domine avec 19 points. Jeudi 9 octobre, à 17 h, le stade Miloud-Hadefi d’Oran servira d’écrin à un rendez-vous sous haute tension face à la lanterne rouge, la Somalie. Le Malawite Godfrey Phillip Nkhakananga tiendra le sifflet, assisté de Clemence Kanduku et Pondamali Tembo, avec David Chinoko en quatrième arbitre. Au-delà des noms, l’enjeu tient en une équation simple : un succès et les Verts compostent leur billet pour la phase finale, renouant avec la grande messe planétaire qu’ils ont déjà connue en 1982, 1986, 2010 et 2014. Oran promet une atmosphère électrique, mais c’est la maîtrise qui primera : entamer fort, contrôler les transitions, éviter l’excès d’engagement qui pourrait tordre le scénario d’un match que l’Algérie a tout intérêt à plier sans se mettre en danger.
Cinq jours plus tard, mardi 14 octobre à 17 h, changement de décor et de casting : le stade Hocine Aït-Ahmed de Tizi-Ouzou accueillera l’ultime journée, face à l’Ouganda. La FIFA a confié l’affiche à un quatuor mauricien emmené par Emtehaz Heeralall, épaulé par Teeluck Aswet et Jean-Marc Jeff Pithia, Jean Brandy Stevie Baillache officiera en quatrième arbitre. Quel que soit le verdict d’Oran, Tizi-Ouzou exigera la même rigueur : gestion des temps faibles, précision sur coups de pied arrêtés, lucidité dans la zone de vérité.
Les calculs sont limpides : une victoire suffit pour valider le ticket vers l’Amérique du Nord 2026. Mais le chemin le plus court reste celui de l’exigence. La désignation anticipée des équipes arbitrales apporte un cadre de sérénité, à condition d’en faire un levier et non un prétexte. Aux hommes de Vladimir Petkovic de transformer l’ascendant comptable en supériorité sportive, d’imprimer leur tempo plutôt que d’épouser celui de l’adversaire, et d’assumer ce statut de leader qui n’attend que d’être parachevé.
Le récit est à portée : Oran peut offrir la délivrance, Tizi-Ouzou la consécration. Entre ces deux haltes, l’Algérie tient son destin. Si les Verts franchissent la marche dès la Somalie, la dernière escale deviendra l’occasion d’affirmer un standard, d’ancrer des certitudes et de se présenter au monde avec une identité claire. Une qualification ne se réclame pas, elle se signe au tableau d’affichage. Les arbitres sont connus, les dates aussi ; il ne reste qu’à écrire la suite, en lettres majuscules.
Ao vivo
Ao vivo