OM : la sortie rafraichissante de Neal Maupay sur ses chambrages | OneFootball

Neal Maupay, l'attaquant de l'OM, a évoqué en toute franchise sa capacité à chambrer très fort sur et en dehors du terrain.

Depuis le début de saison, les supporters de l'OM découvrent Neal Maupay, arrivé cet été à la suite de la blessure de Faris Moumbagna. Un homme de caractère, qui avait déjà fait parler de lui quelques fois en Angleterre pour son comportement, et fait de même en France. Avec notamment une capacité forte à chambrer...

Maupay, dans une interview au CFC, évoque le sujet de manière rafraichissante, revenant tout d'abord sur la manière dont lui s'est fait chambrer après son premier but marseillais contre Nice. « Quand je célèbre, je me retourne et je montre mon nom parce que les gens ne me connaissent pas, je viens d’arriver, je voulais faire les présentations. Mais c’était le maillot des 125 ans donc il n'y avait pas de le nom derrière. Ca a donné un petit même sur les réseaux et Twitter donc ça tombe bien, j’aime bien tout ça. Je ne me prends pas au sérieux, moi on peut me vanner, je vais rater une occasion, je suis petit il n’y a pas de souci. Mais quand on fait des blagues il faut savoir en recevoir de l’autre côté aussi, donc ça m’a fait rire. »

Maupay raconte son chambrage contre l'OL

Neal Maupay qui est ensuite revenu sur un chambrage marquant de la saison, avec sa bouteille d'eau aux couleurs de l'OL bue avec délectation sur les réseaux sociaux. « 'L’OL c’est de l’eau'. Il faut dire comment ça s’est passé. C’était après le match, on était dans le vestiaire, on célèbre, tout le monde est content et en fait j’étais en train de boire après la douche et mon intendant me dit que que ce serait trop bien de me prendre en photo avec cette bouteille. Et je lui dis tiens je bois avec le logo. On vient de gagner. Les gens vont faire le rapprochement. Et moi j’aime bien quand il faut gratter un petit peu. Moi je ne vois pas de mal à ça, je ne pense pas dépasser les limites, C’est quelque chose que je recherche même dans ma vie ou sur le terrain. J’ai besoin de sentir qu’il y a du répondant. On me dit souvent 'je savais pas que t’étais un gars sympa' donc ça me fait rire parce que je ne prête pas attention à ce que pensent les gens, parce que en fait ce sont des gens que je connais pas. Ce qui m’intéresse c’est ma famille, mon entraîneur, mes coéquipiers, comment ils me voient. Si eux trouvent que je suis super sympa c’est ça qui compte. Les gens de l’extérieur, les adversaires, qu’ils m’aiment ou qu’il ne m’aiment pas, j’ai passé ce stade. Ça ne fait rien. »

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