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·05 de julho de 2025
Performances, pressing en finale et liens forts, Dembélé se lâche !

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·05 de julho de 2025
Ousmane Dembélé, attaquant de 28 ans du Paris Saint-Germain, a livré une interview au micro de PSG TV. L’attaquant du club de la capitale est notamment revenu sur la saison fantastique du PSG ainsi que sur ses performances personnelles.
Quand t’as signé au PSG est-ce que tu avais imaginé des moments comme celui-ci ?
«Oui, c’est ce que je voulais. J’ai signé au PSG pour vivre des moments comme cela. Cette année a été exceptionnelle. Personnellement et collectivement aussi. Quand on a goûté on en veut encore plus.»
Quel est ton regard personnel sur ta saison ?
«C’est un bon bilan, c’est mon plus haut en Champions League, surtout que j’ai été élu meilleur joueur de la Ligue des Champions. C’est quelque chose d’exceptionnel. Les plus grands jouent cette compétition et on te dit que c’est toi le meilleur de la saison, c’est exceptionnel.
Je voulais faire une grande saison, marquer plus de buts, être décisif. Après on m’a positionné en tant que numéro 9, ça m’a beaucoup aidé. La mentalité a beaucoup changé depuis ce début de saison.»
Comment on travaille ce pressing cette capacité de défendre ?
«C’est sur le placement et l’intensité dans les courses. Ne pas laisser le temps au gardien de relancer. Je fais tout ne pas lui laisser une seconde pour penser. Je prends plaisir à le faire, à presser. À chaque fois qu’il s’apprête à dégager je mets le pied et je lui crie dessus. Le gardien de l’Inter je lui ai mis la pression tout le match.»
Luis Enrique t’as confié beaucoup de responsabilité sur le terrain cette saison, comment il a fait de toi un leader ?
«Quand j’ai signé au PSG déjà il m’a donné sa confiance. Il me donne beaucoup de conseils. Il me donne aussi énormément de liberté. Le coach m’a dit de montrer l’exemple, avec les efforts défensifs et en attaque. Et pour la vie du groupe je reste le même.»
Vous êtes comme des frères avec tes coéquipiers ?
«Oui c’est comme une famille. Comme je l’avais dit, on passe plus de temps entre nous qu’avec nos familles. Il y a des liens qui se créent et ça fait maintenant deux ans qu’on travaille tous ensemble. Ça a donné ces résultats dans cette deuxième saison qui a été exceptionnelle.
On essaye de faire les efforts pour chacun, se donner des conseils. Et évidemment, les victoires créent encore plus de liens. Le coach nous a dits, on est une équipe et il faut tout faire ensemble, attaquer et défendre.»
Lors du sacre en championnat, tu as pris chacun de tes coéquipiers dans les bras, pourquoi ?
«C’était une saison difficile, il restait encore la finale de Coupe de France et la Ligue des Champions. La saison a été longue avec énormément de critiques surtout en début de saison. On a réussi à inverser tout ça. Je voulais faire des câlins à tout le monde. C’était un bon moment. Et même si c’étaient les festivités, il restait l’objectif le plus important dans ces deux semaines, la finale de la Ligue des Champions.»
Les scénarios de cette saison et notamment le match contre Manchester City ont créé encore plus de liens avec les supporters ?
«Du début jusqu’à la fin ils nous ont supportsé, en Ligue des Champions on n’a pas été bon mais ils étaient toujours là pour nous encourager. Ils nous ont pas lâchés, du début jusqu’à la fin. C’est aussi grâce à eux qu’on fait une saison comme ça. Sans douzième homme il y a des matchs comme Manchester City, Liverpool, Arsenal qui auraient vraiment été difficiles à gagner.»
Que représente le mondial des clubs pour toi ?
«Il y a eu de très bons matchs et beaucoup de surprises aussi. On en a fait les frais, contre Botafogo. Les clubs brésiliens, argentins, etc, ne sont vraiment pas facile à jouer.»