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·27 de novembro de 2025
PSG/Tottenham – Marquinhos se lâche : Vitinha, 500 matchs, Kolo Muani et philosophie

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·27 de novembro de 2025

Le Paris Saint-Germain s’est imposé 5-3 face à Tottenham (résumé vidéo PSG/Tottenham) ce mercredi au Parc des Princes dans le cadre de la 5e journée de la Ligue des Champions 2025-2026. Après cette victoire, le défenseur et capitaine parisien Marquinhos s’est exprimé en zone mixte.
Vitinha ?
Il monte toujours, à tous les matchs, à quel point il est important. Je l’ai vu arriver et grandir dans cette équipe. C’est le maître du jeu, il donne le tempo, il décide où il va. Il est toujours prêt, on lui dit parfois de se reposer (rire). Il profite toujours. Même à l’entraînement, le coach doit parfois lui dire de se reposer. Je suis très content qu’il soit avec nous, c’est un des meilleurs milieux au monde aujourd’hui.
D’immenses émotions, négatives comme positives, dans vos 500 matchs au PSG. Que retenez-vous ?
C’était une soirée avec plein d’émotions, c’est un long chemin. J’arrive tout jeune, je voulais profiter du moment avec de grands joueurs. C’est pour cela que je suis venu au PSG. C’est une fierté d’avoir passé tout ce chemin, les obstacles, afin de porter ce maillot avec beaucoup de fierté et de motivation. Il y a beaucoup d’émotion. Je remercie tout le monde.
Cela fait partie d’une carrière d’avoir des bons moments et des moments difficiles. Avec mes proches et les gens autour de moi, j’ai pu surmonter ces moments. 500 matchs, ce sont beaucoup de voyages, de motivation, des moments difficiles, ce n’est pas simple d’arriver jusque-là. J’ai encore beaucoup à donner à ce club. C’est 500, mais pas la dernière. Tant que j’ai la faim, je vais encore tout donner pour célébrer beaucoup de choses.
Qu’est-ce qui motive encore après autant de matchs ?
Je suis un compétiteur. Je joue au foot par passion. Je viens d’un pays qui est passionné par le foot. Notre premier cadeau, c’est un ballon (sourire). C’est comme cela que commence le chemin dans le football. C’est aussi mon travail aujourd’hui, mais c’est d’abord ma passion. C’est ce qui me motive.
Je veux encore gagner, je veux marquer encore plus l’histoire du club. J’ai un coach qui me motive, qui me sort de ma zone de confort tous les jours à l’entraînement. Comme toute l’équipe. C’est aussi ce qui donne la pêche et la faim pour continuer et encore chercher des résultats comme aujourd’hui. Il faut continuer à chercher mes objectifs.
Un mots pour les supporters ?
Toujours ! Merci, tout d’abord. Eux, comme moi, ils ont vécu aussi des moments difficiles. Mais ils sont toujours là, c’est incroyable. Le PSG a les meilleurs supporters au monde, cela fait vraiment plaisir de les avoir. On voit leur passion au quotidien, à l’extérieur aussi. J’ai fait 500 matchs, mais certains ont fait beaucoup plus que moi (sourire).
Il faut les féliciter, les remercier. Marqui, les supporters, Paris, c’est une histoire d’amour. Il y a eu des moments difficiles, mais on est toujours ensemble.
Le match de Kolo Muani ?
On le connaît, j’avais déjà joué contre lui quand il était à Nantes. À l’entraînement aussi, je sais la qualité qu’il a. Il a un physique très difficile à défendre. Dans le duel en un contre un, il est présent. Aujourd’hui, il a fait un bon match. Il a fait les choses sur le terrain. Je suis content, vraiment. Quand des joueurs passent des moments difficiles dans le club et qu’ils retrouvent du plaisir quand ils vont ailleurs, ils retrouvent leur chemin.
Dans le foot, c’est comme ça. Parfois, ça ne marche pas dans un club et il faut continuer à chercher sa joie et motivation. Je suis content qu’il soit là, qu’il joue, qu’il prenne du plaisir. C’est vraiment un très bon gars, on a passé de bons moments dans le vestiaire et je lui souhaite le meilleur pour la suite.
Comment expliquer que le PSG, mené deux fois, parvienne à rester calme afin d’aller chercher la victoire ?
Je pense que ce n’est pas la soirée parfaite, car on prend beaucoup de buts. En tant que défenseurs, je n’aime pas cela. Mais on a cette philosophie, le coach est là et a cette idée : on joue toujours de la même façon peu importe le score. On n’est jamais là pour laisser passer le temps. Peu importe le score, notre attitude est toujours là. C’est ce que le coach veut.
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