Quel entraîneur pour Anderlecht ? Une piste privilégiée mais il ne faudra pas se rater | OneFootball

Quel entraîneur pour Anderlecht ? Une piste privilégiée mais il ne faudra pas se rater | OneFootball

In partnership with

Yahoo sports
Icon: Walfoot.be

Walfoot.be

·19 de setembro de 2024

Quel entraîneur pour Anderlecht ? Une piste privilégiée mais il ne faudra pas se rater

Imagem do artigo:Quel entraîneur pour Anderlecht ? Une piste privilégiée mais il ne faudra pas se rater

Le mercato à peine terminé, Anderlecht se retrouve plongé dans un autre dossier brûlant. Il faut trouver un remplaçant à Brian Riemer, et vite.

Voilà quelques semaines qu'on le sentait venir. Quelques mois, en réalité : Brian Riemer s'était heurté à ses limites à peu près chaque fois qu'il avait affronté une équipe qui, de son côté, avait un plan bien huilé. Thorsten Fink aura été l'ultime mur, cette fois bien trop solide, sur lequel le coach danois s'est brisé les dents.


Vídeos OneFootball


Fébrilité sous le pressing adverse, absence de vitesse sur les flancs, absence de mouvement(s), absence de plan B : Brian Riemer a échoué à tirer le maximum de son noyau. La priorité sera donc de trouver un coach de premier plan avec l'expérience suffisante pour y parvenir.

Anderlecht n'a pas un noyau équilibré

C'est plus facile à dire qu'à faire, car Riemer n'était pas non plus aidé par un noyau mal mis sur pied, mal équilibré et handicapé par des blessures à répétition. Leander Dendoncker seul ne transformera pas l'entrejeu du RSCA d'un coup de baguette magique.

Imagem do artigo:Quel entraîneur pour Anderlecht ? Une piste privilégiée mais il ne faudra pas se rater

L'objectif d'Anderlecht, c'est aussi un coach avec un plan B, et capable de proactivité. Kasper Hjulmand est le nom le plus couramment cité et à coup sûr, il a l'expérience pour gérer un noyau. Il est l'une des rares options libres et intéressantes sur le marché.

Du moins parmi les options réalistes, car on imagine mal Jesper Fredberg aller chercher Graham Potter Edin Terzic ou Thomas Tuchel. On le sait, le CEO Sports du RSC Anderlecht est un grand admirateur du football "à la Red Bull" - pressing haut à l'allemande, transitions rapides. Mais il n'a pas les joueurs pour mettre cela en place, et on s'attend à ce qu'il s'éloigne de ces attentes.

Quelques idées en vrac...

S'il s'y tenait, cependant, quelques noms sont intéressants : Roger Schmidt, licencié du Benfica il y a une vingtaine de jours, a coaché le RB Salzbourg pendant deux ans avant de rejoindre le Bayer Leverkusen. Un profil cher, mais huppé. Thomas Letsch, libre depuis avril et la fin de son expérience à Bochum, est un nom plus modeste mais qui a lui aussi dirigé Salzbourg en 2015.

Un autre nom a déjà été cité à Anderlecht à plusieurs reprises par le passé et est libre depuis presque deux ans maintenant : Lucien Favre, 66 ans et dont le dernier poste date de janvier 2023 à Nice. Mais tous ces noms, si prestigieux qu'ils soient, manquent d'un point crucial : la connaissance du championnat belge.

Un coach belge ou de Pro League ?

L'option Hein Vanhaezebrouck a déjà été citée par-ci par-là et paraît peu crédible, mais le RSCA aurait peut-être tout à gagner à aller chercher un coach qui connaît bien la Jupiler Pro League. Besnik Hasi fait un superbe travail au KV Malines et l'y débaucher ne viderait pas les caisses anderlechtoises... mais accepterait-il (lui comme Vanhaezebrouck d'ailleurs) une collaboration aussi étroite avec Fredberg que celle que tolérait Brian Riemer ? Certainement pas.

Bref, Jesper Fredberg va devoir peser le(s) pour et le(s) contre de son choix, et devra le faire très rapidement. Car ce n'est pas David Hubert, surprenant entraîneur intérimaire, qui devrait avoir la responsabilité de maintenir le navire à flot autrement qu'à très court terme. Or, le programme est - très - chargé ...

Saiba mais sobre o veículo