OnzeMondial
·15 de agosto de 2025
Rennes - OM : le magnifique hommage de Beye à ses joueurs

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·15 de agosto de 2025
Après le choc de cette première journée de Ligue 1 entre Rennes et l'OM, Habib Beye était évidemment un homme heureux au micro de Ligue 1+.
Ce vendredi soir, Rennes espérait frapper un grand coup sur sa pelouse avec la réception de l'OM dès l'entame du championnat. Les hommes de Habib Beye ont d'ailleurs joint le geste à la parole avec un début de match remarquable, bousculant franchement les Phocéens. Sauf qu'un carton rouge à la demi-heure de jeu est venu compliquer leurs affaires.
Mais les joueurs bretons ont ensuite montré un courage énorme pour résister à l'OM toute la rencontre, avant de les crucifier par Ludovic Blas. Forcément, après la rencontre, au micro de Ligue 1+, Habib Beye a affiché une énorme satisfaction. « Ils sont allés la chercher avec la patience, avec l'abnégation. La souffrance ça fait partie de notre métier, ce qu’on fait mes joueurs et mon groupe ce soir c’est assez remarquable parce qu’on a beaucoup travaillé cette semaine, on savait que ce serait difficile de rivaliser avec eux sur la possession, mais on savait qu’il fallait coulisser très fort, très vite pour gérer toute leur possession et fermer l’intérieur du jeu. On a été en capacité de faire ça, de tenir. En première période on pouvait déjà être devant et on a tenu ensuite. L'OM, c’est une des meilleures équipes en terme individuel et collectif mais on a été très bon, très solide et c’est une magnifique performance de la part de mon groupe. »
Pour Beye, même jouer à dix n'a pas franchement changé la donne de ce match. « A dix, on n’a pas changé notre plan de jeu, on était à trois derrière, Al-Tamari a fait un travail incroyable, on a réussi à contrôler les assauts. Chaque joueur a fait un travail incroyable et le public a été formidable. » Enfin, Beye est revenu sur la sanction contre Mikayil Faye, le défenseur exclu du groupe avant le match pour un retard. « J’ai dit en arrivant qu'il fallait être un club avec une identité forte. Ca peut arriver, mais il faut être en capacité de sanctionner, c’est ce qu’on a fait. Les retards, c'est une scène de vie d'un vestiaire, il a fallu les gérer. »
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