Un but totalement fou pour Hamza Igamane (LOSC) : 7e victoire en 7 matchs pour le Maroc | OneFootball

Aligné sur l’aile droite de l’attaque marocaine ce lundi, Hamza Igamane a inscrit un but venu d’ailleurs pour consolider l’avantage acquis par le Maroc, vainqueur de la Zambie (0-2) à Ndola.

Le Maroc a de nouveau rendez-vous avec le monde : C’est ce qu’il était possible d’écrire ou de lire vendredi dernier, suite à la large victoire (5-0) des Lions de l’Atlas sur le Niger. Trois ans après leur demi-finale perdue contre l’équipe de France (0-2) et leur quatrième place, meilleur résultat de l’histoire pour une nation africaine, ils arrachaient leur qualification pour la Coupe du monde 2026 à l’issue d’un sans-faute : 6 victoires en 6 matchs.

Ce sans-faute s’est poursuivi ce lundi, à Ndola. Le Maroc s’opposait à la Zambie, qui a été vaincue par une équipe remaniée dont l’efficacité a été exubérante. Youssef En-Nesyri profitait d’une erreur de relance de la défense zambienne pour ouvrir la marque de façon précoce (7′), tandis qu’Hamza Igamane l’imitait au retour des vestiaires. La nouvelle recrue du LOSC ne profitait de rien, mais marquait un but totalement fou. Alors qu’un six mètres du gardien marocain était repoussé de la tête par la Zambie, Hamza Igamane reprenait le cuir d’une demi-volée instinctive, dos au but, pour surprendre le gardien à 25 mètres des cages. « Quel but extraordinaire ! », ne pouvait que s’exclamer le commentateur, frappé par le geste inattendu tenté et réussi par le Lillois.

Ce dernier, titulaire au coup d’envoi, est resté sur le terrain jusqu’à la 86e minute pour sa troisième sélection avec le Maroc.

Reçu 7 sur 7

C’est ainsi, avec deux buts en trois tentatives cadrées, que le Maroc s’est offert un succès en Zambie (0-2) tout en laissant des cadres tels que Nayef Aguerd (OM), Brahim Diaz (Real Madrid) ou encore Achraf Hakimi (PSG) sur le banc. Sept victoires en sept matchs, les Lions de l’Atlas possèdent 21 points, soit 10 d’avance sur leur dauphin (la Tanzanie), et confortent plus que ce qu’il ne faut (comptablement parlant) leur position de leaders.