PSG : l'énorme enflammade de Laurent Blanc qui adoube le Qatar | OneFootball

Laurent Blanc est complètement fan de ce Paris Saint-Germain, et l'ancien coach imagine même les Parisiens réaliser un doublé !

Avant que Luis Enrique ne place le Paris Saint-Germain tout en haut de l'Europe avec une domination impressionnante sur ses adversaires, le PSG version Laurent Blanc était certainement le plus solide sous l'ère Qatari. Le champion du monde 1998, à la tête du club de la capitale entre 2013 et 2016, avait atteint les quarts de finale de la C1, mais avait dominé outrageusement la Ligue 1.

Après des passages à l'Olympique Lyonnais et Al-Rayyan au Qatar, il est désormais à la tête d'Al Ittihad, l'écurie de Karim Benzema, vient d'être sacré champion d'Arabie saoudite. Mais il garde toujours un oeil avisé sur son ancienne écurie. Et comme tout le monde, il a été particulièrement impressionné par cette saison XXL.

"Quand j'étais là-bas, le grand objectif était de remporter la C1"

Il est d'abord revenu sur son passage et l'investissement duQatar : "Quand j'étais là-bas, le grand objectif était de remporter la Ligue des champions et tout le monde disait que le PSG ne la remporterait jamais, que cela ne valait pas la peine d'investir autant d'argent. J'avais un avis complètement opposé. Je leur disais : 'Non, je pense que vous vous trompez", a-t-il lâché dans un entretien accordé au quotidien Sport.

Le Cévenol a appuyé ce raisonnement : "Beaucoup de gens, pas seulement dans la presse, mais aussi parmi les spécialistes du football, les soi-disant experts du football, disaient qu'ils ne gagneraient jamais la Ligue des champions, que s'ils ne l'avaient pas gagnée avec Messi, avec Mbappé, avec Neymar... Je disais qu'ils devaient continuer à investir car, tôt ou tard, ils la gagneraient. Et c'est ce qui s'est passé".

"En plus, il est courageux"

Il a ensuite salué la performance majuscule de Luis Enrique en imaginant un possible doublé : "Et peut-être que ce n'est pas encore fini. Peut-être qu'ils la remporteront à nouveau parce qu'ils investissent beaucoup, qu'ils engagent de grands entraîneurs (...). Aujourd'hui, il prône également un jeu basé sur la possession, la volonté de récupérer le ballon, le mouvement, la compétition. C'est sa vision du jeu. Je ne peux que l'accepter et la partager. En plus, il est courageux". L'intéressé appréciera !

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