Un cadre de l'Inter n'a aucun regret, le PSG était "trop fort" | OneFootball

Très lourdement battu par le Paris Saint-Germain en finale de Ligue des Champions, la saison passée (5-0), l'Inter Milan a essuyé un second revers en 3 ans dans l'exercice. Et si la 1re fois, face à Manchester City, les Intéristes avaient failli l'emporter, face au PSG, il n'y a pas eu débats. Un cadre des Nerazzurri est revenu sur cette rencontre.

Les Intéristes se sont-ils remis de leur mésaventure en finale de Ligue des Champions face au PSG (5-0) ? En-tout-cas, un cadre de l'Inter semble l'avoir accepté. Impossible de gagner à tous les coups, et ça, l'Italien l'a bien compris. L'élimination du Barça, en demi-finale, était une très jolie prouesse, mais face à Paris, la marche était bien trop haute. Ce dernier est revenu sur cette ultime rencontre européenne.

"Dans le football, comme dans la vie, on ne gagne pas toujours."

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Dans sa biographie "Io Guerriero", Francesco Acerbe est revenu sur la déconvenue de son équipe face au PSG, en LDC. Il avoue et reconnaît notamment, la supériorité technique des Parisiens dans cette rencontre. "Le football, malheureusement, ne fait de cadeaux à personne. Oui, nous sommes allés en finale. Mais l’issue n’a pas été celle que nous rêvions. À Munich, le 31 mai 2025, contre le Paris Saint-Germain, nous avons joué. Vraiment joué. Mais cela n’a pas suffi. Ils ont été plus lucides, plus précis, meilleurs que nous. Il reste la fierté pour le parcours exaltant que nous avons accompli et la déception pour l’issue." Beaucoup de supporters de l'Inter ont très mal vécu ce nouvel échec en finale. En 3 ans, les Italiens ont échoué 2à deux reprises au pied du trophée de la Coupe aux grandes oreilles. "Pourtant, ceux qui connaissent le football savent que la saison a été longue, épuisante, pleine de batailles. Et nous avions quelques séquelles. Dans le football, comme dans la vie, on ne gagne pas toujours", a-t-il précisé.

Aucun regret de son côté. Il dit s'être donné à fond, au même titre que ses coéquipiers, mais malheureusement pour l'Inter, cela n'a pas suffi. "Chaque fois qu’il y a un vainqueur, il y a aussi quelqu’un qui perd. Cela fait partie du jeu. Ce que je sais, c’est que je n’ai rien à me reprocher. Ni moi, ni nous. Nous avons tout donné. Et arriver deux fois en trois ans à jouer une finale de Ligue des champions avec ce maillot, au milieu de mille difficultés, est une fierté que personne ne pourra m’enlever. Même pas une défaite en finale." Acerbi préfère garder les bons souvenirs de cette aventure.

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