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·18 October 2025

Derrière Lamine Yamal, Matias Fernandez-Pardo (LOSC) meilleur jeune ailier du monde ?

Article image:Derrière Lamine Yamal, Matias Fernandez-Pardo (LOSC) meilleur jeune ailier du monde ?

Auteur d’un début de saison abouti, Matias Fernandez-Pardo s’impose peu à peu comme l’un des leaders offensifs du LOSC. Une impression visuelle qui se confirme dans les statistiques avancées, où l’attaquant de 20 ans ressort parmi les meilleurs ailiers provocateurs du monde chez les U21. Explications.

Matias Fernandez-Pardo s’approche des sommets

Petit à petit, l’oiseau fait son nid. Il y a un an, Matias Fernandez-Pardo n’avait disputé qu’une soixantaine de minutes de jeu en Ligue 1, sans jamais être titulaire. Depuis, le polyvalent attaquant s’est étoffé dans tous les domaines pour s’imposer comme un incontournable du secteur offensif du LOSC. À 20 ans, il est le premier ailier dont Bruno Genesio couche le nom. Et à en croire l’algorithme de Data’Scout, cela a de quoi se comprendre.


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Selon le site de référence dans l’analyse data, Matias Fernandez-Pardo est tout simplement le deuxième meilleur ailier provocateur du monde de moins de 21 ans en ce début de saison, parmi 84 championnats analysés. Derrière Lamine Yamal (96/100), deuxième du Ballon d’Or et intouchable, l’ailier lillois affiche une note de 88 sur 100 et s’impose même comme le meilleur dans son domaine en Ligue 1. L’Hispano-Belge devance Malick Fofana en championnat (OL, 86/100), mais aussi d’autres grands talents comme Jean-Mattéo Bahoya (Francfort, 86/100) et Yankuba Minteh (Brighton, 86/100).

Après une deuxième partie de saison 2024/2025 aboutie malgré une longue absence liée à une blessure à la cheville (janvier-mars), Matias Fernandez-Pardo a encore franchi un cap dans sa constance sur 90 minutes et cette insatiable capacité à faire des différences dans le un-contre-un, avec un alliage technico-physique dévastateur. Reste désormais à l’ancien de la Gantoise à trouver de l’efficacité et de la justesse décisionnelle dans les trente derniers mètres, sa principale marge de progression identifiée.

Crédits photo : Baptiste Fernandez/Icon Sport

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