OM – L’OM espère encore 3 ou 4 départs | OneFootball

Bien que la fermeture officielle du marché des transferts estival soit officielle depuis lundi soir pour les principaux championnats européens, plusieurs possibilités demeurent ouvertes pour les clubs souhaitant finaliser des mouvements de joueurs. Cette situation particulière concerne notamment l’OM, dont certains éléments pourraient encore quitter l’effectif malgré l’impossibilité pour les clubs de Ligue 1 de procéder à de nouveaux recrutements jusqu’en janvier, exception faite du dispositif de joker médical.

Plusieurs destinations géographiques maintiennent leurs fenêtres de transferts ouvertes, offrant des débouchés potentiels pour les départs marseillais. L’Arabie Saoudite, la Grèce, la Turquie, la Belgique, la Suisse, le Mexique et la Russie constituent autant d’options viables pour les joueurs en recherche de temps de jeu ou les clubs désireux de restructurer leurs effectifs. Ces marchés alternatifs représentent une opportunité stratégique pour finaliser des opérations qui n’auraient pas pu aboutir dans les délais européens traditionnels.

Stratégie de dégraissage des dirigeants marseillais

Pablo Longoria et Mehdi Benatia, respectivement président et conseiller sportif de l’OM, maintiennent leur volonté de procéder au départ de plusieurs joueurs considérés comme excédentaires. Neal Maupay, Pol Lirola, Amine Harit et potentiellement Ruben Blanco figurent sur cette liste de départs souhaités. Cette démarche répond à un double objectif économique consistant à générer des recettes financières tout en allégeant la masse salariale du club, élément crucial dans la gestion budgétaire moderne du football professionnel.

Malgré ces opportunités, la direction marseillaise fait face à des contraintes pratiques significatives. Le facteur temps constitue un élément de pression croissant, tandis que l’intérêt des clubs potentiellement acquéreurs demeure limité pour les profils proposés. Cette situation illustre les difficultés inhérentes aux opérations de fin de mercato, où l’urgence des vendeurs ne correspond pas nécessairement aux besoins immédiats des acheteurs potentiels, créant un déséquilibre défavorable aux négociations.

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