PSG : la terrible révélation de Kimpembe sur son interminable blessure | OneFootball

Presnel Kimpembe, qui vient de quitter le Paris Saint-Germain pour le Qatar, a fait une terrible révélation sur son interminable absence.

Formé au Paris Saint-Germain, vice-capitaine derrière Marquinhos, champion du monde en 2018, Presnel Kimpembe a dit adieu à son club de toujours avant de s’envoler pour le Qatar SC. Mais derrière cette image, l’histoire cache un drame, celui d’un corps qui a fini par lâcher au fur et à mesure des années et des blessures.

Tout bascule en février 2023 avec une rupture du tendon d’Achille, suivie d'une opération, d'une longue rééducation et surtout un retour impossible au très haut niveau. Mais ce que Kimpembe a confié dans l’émission Clique est encore plus glaçant : il savait : "Je savais que cette blessure allait arriver un jour, mais je ne savais pas quand », lâche-t-il. Avant même le Mondial 2022, son corps envoyait déjà des signaux d’alerte.

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"J’ai beaucoup souffert"

"J’avais des douleurs, je faisais des soins, du renforcement du mollet pour éviter la blessure. Ma santé n’était pas top. J’ai souffert avant que ça arrive". Ce n’est donc pas seulement la rupture en elle-même, mais une lente agonie qui a marqué le défenseur parisien. "J’ai traîné ma peine pendant deux ans et demi, trois ans. J’ai beaucoup souffert. Ça a été une période très compliquée dans ma vie".

Le retour sur les terrains n’aura rien changé : deux apparitions en Ligue 1, quelques minutes en Coupe de France et un dernier frisson européen contre Brest. Trop peu pour convaincre Luis Enrique de le relancer. Plutôt que d’entrer dans un bras de fer, Kimpembe a choisi l’apaisement. "Je savais qu’il n’y aurait pas de guerre avec Paris. Il n’y a jamais eu de problème. J’ai tout simplement envie de jouer", insiste-t-il.

Après 241 matchs en Rouge et Bleu, huit titres de champion de France et une Ligue des champions glorieusement soulevée en mai dernier, l’heure était venue d’écrire un nouveau chapitre. Cap donc sur le Qatar SC, deuxième du championnat local. À 30 ans, celui que les supporters appelaient « Presko » veut avant tout redevenir footballeur.

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