Le Petit Lillois
·27 de diciembre de 2024
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Membre expérimenté du vestiaire lillois, Rémy Cabella a récemment tenu à dédier les succès glanés ces six premiers mois à Bruno Genesio, coach au LOSC.
Lors de son arrivée chez les Dogues, en juin afin de succéder à Paulo Fonseca débarqué à Milan, Bruno Genesio évoquait son envie de « s’inscrire dans la continuité » de ce qui avait été bien fait jusqu’ici, tout en y ajoutant « sa touche personnelle » afin de poursuivre l’héritage laissé. Cette volonté exprimée en conférence de presse, lors de sa présentation aux médias, a été ressentie par les joueurs sur le terrain.
« Quand il est arrivé. On avait encore le système de jeu de Paulo Fonseca. Le coach a un peu souhaité conserver ça, ce qui est normal puisque l’équipe marchait bien, puis il a petit à petit ajouté ces petites touches, ce qui est aussi important pour lui et pour nous, de connaître son idée de jeu, ses principes…, a récemment reconnu Rémy Cabella (34 ans), lors d’un entretien accordé à Kop Football. On peut dire que ça a plutôt bien pris (rire). Ce que l’on fait là est énorme et c’est aussi grâce à lui et à son staff. Les entraînements se passent bien, on s’entend super bien et c’est le genre de choses qui est important pour un groupe », a-t-il salué.
Gêné par de nombreuses blessures au cours de ces six derniers mois, Bruno Genesio a parfois été contraint de manœuvrer avec un groupe restreint, offrant ainsi du temps de jeu à des éléments initialement prédestinés à se forger une expérience sur le banc. Cette réalité, qui est finalement devenue une force pour le collectif lillois, se traduit par les chiffres avec 22 compositions de départ différentes depuis le début de la saison, ainsi que par les mots.
Membre expérimenté du vestiaire du LOSC, Rémy Cabella a mis en valeur cette gestion du groupe : « Je trouve qu’il a mis en place une bonne rotation. Il n’hésite pas à faire des changements, que ça soit en Ligue 1 ou en Ligue des Champions, valorise-t-il. Il essaie de donner du temps à tout le monde. Il faut reconnaître que ce n’est pas partout comme ça. Il le fait bien, on le comprend, et c’est positif pour le groupe », a-t-il ainsi lancé. Lui-même profite de ce turn-over régulier pour alterner entre titularisations et entrées en cours de jeu. Il accumule, à mi-saison, 1057 minutes en 22 rencontres disputées toutes compétitions confondues.
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